NASSIMA ET SES FILLES Troisième partie AMAL
Datte: 28/12/2018,
Catégories:
Humour
Inceste / Tabou
Anal
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
Mes relations avec Nawal sont devenues des relations de type épistolaire, mais par téléphone, au lieu que cela soit par écrit. Nous avons établi entre nous une convention que je devais absolument respecter: c’est toujours elle qui doit appeler, jamais moi, quelle qu’en soit la raison. Elle ne veut pas que son mari sache pour nous, ni qu’il ait quelque soupçon que ce soit concernant sa fidélité. Elle m’appelle assez souvent, quand elle est seule et qu’elle a la nostalgie des moments vécus ensemble. Elle me donne des nouvelles de notre fils au fur et à mesure qu’il évolue (il sourit ! il rampe ! il se lève ! il a fait quelques pas !il dit maman et papa ! etc.) et de sa maman qu’elle voit maintenant assez souvent, seule ou en compagnie de son mari.
Avec Nassima, elles parlent souvent de moi ; de l’importance que j’ai eue dans leur vie à toutes les deux. Il n’y a plus aucune jalousie entre elles me concernant. Sa maman lui avait raconté notre histoire à tous les deux et lui avait fait part de tout l’amour qu’elle avait eu pour moi. Elle ne regrettait pas de m’avoir quitté, sachant que tous les deux nous n’avions pas d’avenir commun. Elle ne regrettait pas non plus d’avoir épousé son actuel mari qui est un homme de bien et qui a beaucoup plus besoin d’elle que moi. Elle lui avait raconté son aventure avec moi. Il en aurait gardé un peu de jalousie.
- Je crois qu’elle t’aime toujours ; de la même manière que moi, je t’aime encore : d’un amour apaisé et sans espoir. Elle ...
... vit dans le souvenir de ce qui a été, qu’elle ne regrette pas, mais qu’elle pense perdu à jamais. La seule chose qu’elle regrette, ce sont vos relations au lit ! Mais même pour cela, la ménopause aidant, elle s’y est faite. Elle fait de temps en temps l’amour avec son mari, pour lui donner du plaisir. Mais elle, depuis qu’elle t’a quitté, elle n’a plus eu de réelle jouissance.
J’aimais beaucoup ses coups de téléphone qui me replongeait dans la nostalgie des jours passés avec la mère, puis avec la fille. Cela ne m’empêchait pas de vivre une vie qui avait repris son cours normal entre travail et amours plus ou moins sérieuses et plus ou moins longues. Il m’était même arrivé de revoir Nassima, à deux ou trois reprises : elle avait chargé Nawal de me demander de lui rendre visite sur son lieu de travail (le seul endroit où elle pouvait recevoir, un homme, sans que cela n’ait eu un air de rendez-vous amoureux !). Je suis passé la voir, par envie et par curiosité. Par envie, parce qu’elle avait gardé une place importante dans mes souvenirs ; par curiosité, parce ce que je voulais connaître de sa propre bouche, pourquoi elle n’avait pas voulu continuer notre histoire. Quand je l’ai revue, dans le même bureau où je l’avais rencontrée pour la première fois, j’ai eu un coup au cœur : tout m’était revenu en mémoire en une seule fois. Tous mes souvenirs jouaient aux autos tamponneuses dans ma mémoire. Elle était exactement la même qu’autrefois : un rayon de soleil, dans un monde de ...