NASSIMA ET SES FILLES Troisième partie AMAL
Datte: 28/12/2018,
Catégories:
Humour
Inceste / Tabou
Anal
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... restant vierges, conformément aux règles sociales. Nos filles sont en général très expertes en pipes faites aux garçons. D’autres acceptent, parfois difficilement, vu la connotation de péché religieux qui l’accompagne, de se faire sodomiser ou pratiquent le coït superficiel (« in ore vulva », comme on dit de façon savante) qui se termine parfois très mal, vu que les accidents arrivent souvent du fait des mouvements incontrôlés du garçon et de la fille pris dans la tourmente du désir et de l’excitation. L’essentiel, étant bien entendu de prendre du plaisir, tout en gardant intact leur hymen. Je pensais que tu avais suivi ce chemin. Or il s’avère que tu es une vraie vierge, une innocente ! N’est-ce pas ?
- Oui ! Je n’ai jamais eu de rapports sexuels, hormis quelques flirts sans suite. Je me suis toujours réservée à celui que j’aimerai. Je n’ai rien contre l’amour hors mariage, mais moi je veux le faire avec l’homme de ma vie ; celui que j’aimerai. Et tant pis si lui ne m’aime pas autant que moi. A celui-là, je donnerai tout, hymen compris ! Et cet homme c’est toi ! Je veux être ton amante, dès ce soir. Je n’exige rien de toi, si ce n’est de m’aimer beaucoup. Le mariage ne m’intéresse pas, comme il ne t’intéresse pas. Je veux passer des moments de bonheur avec toi ; tant pis s’ils ne durent pas très longtemps ! Je veux un amour fort et passionné ! Un amour plein de sensualité et d’érotisme ! Je suis prête à tout apprendre, à casser tous les résidus de tabous qui peuvent ...
... encore être en moi ! Je veux être heureuse et te rendre heureux !
Nous étions toujours à genoux, nous faisant face, totalement nus. Je la serrai très fort dans mes bras, pour lui communiquer tout mon amour. Je l’embrassais frénétiquement sur tout son visage y déposant des grands baisers bien sonores et mouillés sur les joues, la bouche, le nez, les yeux, le front, le menton, le cou,…Je lui caressais longuement les épaules et le dos. Avec mes doigts je me mis à suivre le sillon de sa colonne vertébrale depuis la première cervicale jusqu’au coccyx, et retour. Je ne la caressais pas, je la chatouillais du bout des doigts, lui communicant tout le désir que j’avais d’elle. Elle aimait visiblement l’effet que ces chatouilles avaient sur elle. Elle se serra plus fort contre moi, faisant jouer son opulente poitrine contre la mienne. Elle y écrasa ses seins voluptueux, transmettant à tout mon corps cette sensation de douceur, de fermeté et de sensualité qui mit le feu à mon sang. Mes doigts continuaient à se promener le long de son échine. Chaque fois qu’ils arrivaient au niveau de la dernière vertèbre et qu’ils allaient vers le début de la rainure des fesses, elle se crispait légèrement, comme si elle attendait qu’ils aillent plus loin vers la fente de ses fesses ou plus bas encore, vers sa vulve.
- Tu m’excites ! Montons sur le lit ! murmura-t-elle à mon oreille.
Je me levai et lui pris les deux mains pour la relever du sol. Je la fis allonger en travers du lit, lui écarta les ...