L'Aveu
Datte: 28/12/2018,
Catégories:
fh,
piscine,
nopéné,
fhh,
fantastiqu,
Auteur: Cidoup, Source: Revebebe
... Je fais vibrer son maillot sur les fesses. J’arrive à force de concentration à le décoller de la peau. Il claque lorsque je relâche ma pression. Elle ne réagit pas… Encore une fois… Une autre.
— Ça va, ça va ! J’ai compris gros cochon !
En souriant elle dégrafe le soutien-gorge qu’elle lance sur le matelas puis ôte son slip. Je précipite mes ondes sur son corps. Je suis partout à la fois, sur les seins, le ventre, les reins, les cuisses, l’entrejambe. Je mesure les progrès que j’ai réalisés dans la maîtrise de l’élément liquide. J’arrive à faire se tordre les tétons qui s’allongent sous les sollicitations.
— Aaah… Bill !
Je m’attaque au petit clitoris à qui je fais subir le même traitement. Sophie gémit, ferme les yeux et s’accroche à l’échelle pour ne pas couler. Elle écarte les cuisses, je me précipite entre les grandes lèvres que je fais onduler, les petites lèvres que j’écarte. Je réussis à souder les molécules d’eau entre elles et à former une sorte de manchon transparent que j’insère dans le vagin qui cède. Je me concentre et après quelques essais je parviens à contrôler la dilatation que je fais varier. Je suis fier de voir l’orifice s’ouvrir et se refermer par ma seule volonté.
— Oooh… Bill ! Aaah…
Les mains de Sophie blanchissent sur les montants de l’échelle à force de la serrer. Elle halète en proie à une intense émotion. Aux mouvements de l’anus, je devine qu’elle accompagne mes pulsations de ses muscles vaginaux. Je retire le manchon ...
... transparent, l’applique sur la rosette mais n’arrive pas à l’introduire. Il me faudrait une aide que ma bien-aimée est incapable de me fournir.
Tant pis. Je retourne au vagin, explore les muqueuses internes. Devenant plus habile, je n’ai plus besoin de toute mon énergie pour rigidifier un manchon liquide et peux en même temps patouiller et sucer les seins, titiller le clitoris, lancer des ondes vibratoires sur les cuisses, là où la chair est tendre près de l’aine, et masser les fesses.
— Mmmh !
Elle se dresse sur la pointe des pieds, ouvre la bouche sur un cri silencieux. Un filet blanchâtre s’échappe de son sexe, elle tremble de tous ses membres. Oui ! J’ai réussi à la faire jouir ! Un voluptueux sentiment de puissance m’enveloppe. Les battements de son cœur s’assagissent. Sa respiration redevient normale. Elle lâche l’échelle et caresse l’eau de la main comme pour me remercier. Je réponds par une vibration de toute la surface.
— Oh ! Bill ! Bill ! Qu’est-ce que t’es devenu ? Pourquoi t’es plus comme avant… On aurait été si bien ensemble…
Avec peine, elle grimpe les barreaux et s’allonge sur le carrelage chaud du bord de la piscine. Elle laisse sa main dériver dans l’eau. Je la cajole d’ondes douces. Tiens ! Je n’ai pas perdu conscience cette fois-ci ! Est-ce l’entraînement ou le fait que je sois resté « entier » ?
— Tu sais, continue-t-elle, je suis sûre que tu m’entends. Ça te fait rien si je te parle ?
Oh non ! Pas du tout ! Continue, Sophie chérie, continue. ...