1. Mon amant m’a prise comme une jument


    Datte: 26/12/2018, Catégories: Mature, Auteur: billy2659, Source: xHamster

    ... boutoir qui vont me défoncer la chatte. J’entends Roland qui s’approche. Il est muet, comme à son habitude. Il ne me parle presque jamais, même quand je le provoque, comme aujourd’hui.
    
    – Allons bel étalon, approche, viens renifler mon cul ! Viens sentir mon odeur de pouliche ! Et ensuite, fourre-moi ton gros manche entre les cuisses !
    
    Cette fois, Roland a compris. Je surprends son souffle entre mes jambes. Il doit me voir couler tellement je mouille. D’ailleurs, je sens mon jus qui dégouline déjà entre mes lèvres.
    
    Au bout de quelques secondes, j’entends le fauteuil qui grince et s’affaisse sous mes genoux. Roland a grimpé derrière moi. Ses mains me saisissent par la taille, fermement. Il me tire un peu en arrière. Au passage, son gland baveux frotte contre ma cuisse. Avec sa main, il le guide tout contre ma vulve. Ca y est, il appuie contre ma fente. Je me recule pour venir m’empaler sur son manche. Son nœud écartèle mes chairs au passage, mais je m’ouvre sans difficulté. Il est maintenant bien logé tout au fond de mon trou. Je peux commencer à me dandiner pour prendre mon plaisir.
    
    – Oui, tu remplis bien ta jument, Roland. Montre-lui que tu es un bon étalon, bien dressé et docile ! Lime-la bien comme il faut, longtemps et bien fort.
    
    Au début, mon amant va doucement, comme pour bien s’installer et prendre ses aises. Il fait lentement coulisser son gros mandrin dans ma chatte. De temps en temps, il m’assène un coup plus violent et le bout de son sexe vient buter ...
    ... tout au fond de moi. Dans ce moment-là, j’ai du mal à retenir un cri. Il s’est penché sur moi et s’est emparé de mes seins qui pendent sous mon torse. Il me tire sur les mamelles et fait rouler les pointes entre ses doigts sans douceur. Je sens la rage contenue qu’il a en lui. Maintenant, j’en veux plus. Il faut qu’il accélère le mouvement, qu’il me bourre plus violemment, qu’il me pilonne la vulve sans ménagement. Je dois le provoquer :
    
    – Oh, tu t’endors ! On dirait un vieux canasson impuissant. Réveille-toi et commence à me limer. Je veux te sentir coulisser entre mes cuisses de salope. Je veux que tu tapes plus fort en moi. Vas-y, vas-y, oui, comme ça ! C’est mieux !
    
    Mes paroles semblent avoir réveillé l’instinct du mâle en lui. Il active le mouvement. Son bassin vient buter contre mes fesses de plus en plus rapidement. Il me tire toujours sur les seins. J’accompagne son mouvement, me balançant d’avant en arrière sans pudeur et sans retenue. Il ne me faut pas plus de quelques minutes de ce traitement avant que je ne m’effondre sur le dossier du fauteuil. Roland lâche à grands jets sa semence de vainqueur dans mon ventre. Je sais qu’il est endurant et décide de ne pas en rester là :
    
    – C’est bien mon grand, tu as bien rempli ta jument. Mais maintenant, il va falloir aussi lui ouvrir le cul. Tu sais que c’est par-là qu’elle jouit le mieux. Profite donc du jus qui coule de son ventre pour lui préparer la raie !
    
    Je ne lui offre pas mon cul comme ça à chacune de mes ...