Mon amant m’a prise comme une jument
Datte: 26/12/2018,
Catégories:
Mature,
Auteur: billy2659, Source: xHamster
Mon mari travaille beaucoup et il est très souvent absent de la maison. Nous ne faisons que très rarement l’amour depuis de nombreuses années. Pourtant, à quarante ans passés, j’ai toujours de gros besoins de sexe. Bien sûr, il m’arrive de me branler, avec mes doigts ou d’autres jouets mais rien n’y fait, il faut que je me sente remplie par un homme. Alors, aujourd’hui, comme toutes les semaines, je suis allée me faire saillir.
Les hommes du quartier me connaissent bien. Surtout ceux qui, privés de travail, passent le plus clair de leur temps à la maison, tout comme moi. Les chômeurs, les invalides, les retraités, tout est bon pour me remplir la chatte ou le cul. Je ne suis pas très difficile, pourvu qu’on me bourre bien le ventre. Généralement, cela m’aide à faire un peu retomber la tension sexuelle qui m’habite presque en permanence.
Justement, cet après-midi, je suis allée voir Roland. C’est sans doute le plus vigoureux de mes amants. Il a tout juste trente ans et il est au chômage depuis que je le connais. En fait, je me demande s’il a déjà travaillé un jour. Peu importe, je sais qu’il est toujours disponible pour me fouiller le corps avec sa queue. Sa femme travaille toute la semaine et ses enfants sont à l’école. Nous avons deux heures devant nous pour laisser libre cours à nos fantasmes.
Roland me baise depuis plusieurs années maintenant. Il sait ce que j’aime et ne se prive pas pour me le donner. Encore jeune, il est vigoureux et endurant. Il me prend ...
... souvent plusieurs fois dans l’après-midi, dans tous les trous que je peux lui offrir. En général, quand j’arrive chez lui, je mouille déjà en montant les escaliers. Ça aussi, il le sait. Avec lui, pas de préliminaires inutiles. J’arrive déjà chaude, prête à recevoir en moi les hommages de sa bite.
Quand il m’ouvre la porte, j’entre sans attendre dans son petit appartement. Je me contente d’un ” Bonjour Roland !” négligé en guise de salutations. Il me répond à peine. Je me dirige rapidement vers la chambre. Là, je remonte ma jupe courte sur mon dos. Je ne porte pas de culotte. Ça n’en vaut pas la peine. Par contre, j’ai enfilé des bas et un porte-jarretelles blancs car je sais qu’il apprécie la lingerie. Dans un coin de la pièce trône un large fauteuil. Je m’agenouille sur le siège, face contre le dossier. Je me penche sur celui-ci, pliée en deux et laisse pendre mes bras de l’autre côté. Dans cette position, Roland a une vue imprenable sur mon cul encadré par les jarretelles. Je doute que cela le laisse insensible. Pour lui donner le coup de grâce, je l’interpelle :
– Viens, viens vite me saillir ! Viens bourrer le cul de ta jument ! Je suis en chaleur, c’est le moment de me foutre ta queue bien au fond du ventre.
Là, je me surpasse. Il ne va pas pouvoir se retenir. D’ailleurs, il n’en a certainement pas envie. J’écarte bien les cuisses, appuyant mes genoux contre les manchettes du fauteuil. Je relève encore un peu mon cul et m’accroche au dossier en prévision des coups de ...