Au bois
Datte: 26/12/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
copains,
grossexe,
groscul,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
fouetfesse,
nature,
Auteur: Ln007, Source: Revebebe
... terre et reste immobile, les bras croisés sur la souche. Je suis un peu décontenancé par cette curieuse interruption de séance. Je décide de prendre les devants.
— Tu veux que je te masse un peu ?
— Juste les cuisses. Sans me tripoter.
Le plaisir n’en sera pas gâché pour autant… Je pose l’appareil photo, m’agenouille derrière elle et entreprends de la masser délicatement, là où elle est censée avoir mal. Mais là, justement, à voir son cul tendu à trente centimètres de mon visage, j’ai un appétit d’ogre ! Je bande dur et j’ai une envie irrépressible de lui arracher sa culotte, pourquoi pas avec les dents ! Mais il faut que je me contienne et je la masse lentement, derrière le genou en remontant jusqu’en haut des cuisses.
Elle a une peau lisse et douce, dédiée à la caresse. J’observe que ma sensation tactile est décuplée par cette séance de photos. À l’avoir ainsi longuement caressée des yeux à travers l’objectif, dans son dénuement progressif, je me suis en quelque sorte imprégné de sa peau. Il y a quelque chose d’intime et d’émouvant dans cette perception.
Et elle, que ressent-elle ? Je me penche en avant. Elle est alanguie, la tête inclinée sur le côté, les yeux clos et affiche un petit sourire d’aise. J’approfondis un peu mon massage. Mes mains s’immiscent imperceptiblement dans l’aine et frôlent le tissu. Du bout des doigts, je devine sa vulve à travers la soie.
— Ça va ? lui demandé-je.
— Ça peut aller… Tu ne te débrouilles pas trop mal.
J’adore ce ...
... genre de réponse qui invite implicitement à continuer. Le massage prodigué prend une autre tournure et elle ne s’en effarouche pas. Alors je continue. J’accentue les caresses d’une seule main entre les deux cuisses. Je m’engage sur un sentier plus audacieux et j’en arrive à caresser maintenant du bout des doigts sa vulve. Je sens qu’elle mouille. C’est un délice absolu d’effleurer son mont de Vénus à travers le tissu humide. Je n’en peux plus, il faut absolument que je libère ma queue qui me fait souffrir le martyre. Elle est comprimée dans mon pantalon et si je ne fais rien, elle va exploser. D’une main, je déboutonne ma braguette le plus discrètement possible et je la sors, gonflée à bloc, raide comme un pieu. Enfin à l’air libre ! Si elle se retourne, j’aurai l’air malin…
Elle sait dans quel état je suis et elle en joue. Imperceptiblement, elle écarte encore un peu les cuisses, exhale un soupir.
J’ai trop envie d’elle. Advienne que pourra ! Plutôt que de continuer à la caresser à travers la soie comme un puceau, je prends la lisière de sa culotte entre les doigts et la fais glisser doucement sur ses hanches. Lentement, la raie de ses fesses se dévoile. Elle ne proteste pas. Je continue. Me voilà arrivé à mi-parcours. Consentante au dénuement définitif, elle me laisse faire. Elle déplie un court instant les jambes pour faciliter la tâche et reprend sa position initiale.
La voici intégralement nue, « vêtue » de ses seules sandales, exhibant la plénitude de son cul dans ...