1. Au bois


    Datte: 26/12/2018, Catégories: fh, fhh, inconnu, copains, grossexe, groscul, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, fouetfesse, nature, Auteur: Ln007, Source: Revebebe

    On s’est retrouvés un jour de juin à quatorze heures à la Porte Dauphine, à l’orée du Bois. Pour deux personnes qui entretiennent une relation seulement amicale, l’objet de notre rendez-vous est plutôt atypique. Sans compter qu’entre autres difficultés, la réussite de « l’entreprise » est avant tout subordonnée au bon vouloir de la météo. Dieu merci, la température est douce en cette saison quasi estivale et le ciel est dégagé. C’est un bon point mais rien n’est acquis !
    
    Elle est arrivée d’un pas nonchalant, les cheveux noués, un sac de toile en bandoulière, vêtue d’un petit chemisier blanc légèrement transparent et d’une jupe courte et serrée. Elle ressemble à une étudiante à la fois sage et insouciante, qui s’offre une petite balade au vert.
    
    Nous reparlons de mon idée sur un ton apparemment badin mais elle ne semble toujours pas convaincue. Elle est sceptique, pas tant sur le déroulement des opérations, que par rapport au résultat escompté. Elle ne se trouve pas très photogénique. Chemin faisant, je lui rappelle que mon idée n’engage à rien et que si elle tourne au fiasco, ça n’aurait strictement aucune importance. Au moins nous aurions fait une belle promenade au milieu de la chlorophylle. Elle acquiesce d’un haussement d’épaule mais à vrai dire je ne sens pas très bien le coup.
    
    Il reste à trouver le lieu approprié, ce qui n’est pas aisé compte tenu de la densité de population parisienne en baguenaude. Après nous être écartés des sentiers battus, nous abordons ...
    ... une végétation plus luxuriante. Elle ouvre la voie et chaloupe en évitant les ronces. Sa petite robe faussement sage moule ses fesses et je jette des regards furtifs sur le mouvement de ses hanches.
    
    Un petit coin s’offre à nous et un regard circulaire nous confirme qu’il n’y a pas âme qui vive à cent mètres à la ronde. Surtout, nous sommes protégés des regards indiscrets par toutes sortes de fourrés et d’arbustes assez hauts. Au bout de quelques minutes, on se croit presque seuls au monde. Les choses sérieuses peuvent enfin commencer !
    
    Il était convenu que le scénario serait soft et progressif. Je n’ai pas d’appareil numérique pour vérifier la qualité des photos mais avec une pellicule de 36 vues (plus une autre au cas où le jeu lui plairait !), nous ne sommes pas démunis. J’essaie de la convaincre de poser naturellement, comme si de rien n’était. Vaste programme.
    
    Elle pose son sac à terre et se prête de mauvaise grâce, avec une pose empruntée, aux trois premières photos. Ses lunettes de soleil dissimulent mal un visage figé. Elle m’avait d’ailleurs prévenu qu’elle détestait « poser bêtement ». Je lui demande alors de faire comme si elle était seule, de se laisser aller, bref de m’oublier ! Elle relâche ses cheveux, son visage s’éclaire un peu et elle me lance sa première mise en garde.
    
    — Bon, allons-y ! On ne va pas y passer des heures. Pas de débordements et dès que j’en ai marre, on arrête illico !
    
    Ça commence bien, en effet…
    
    Les trois photos suivantes sont ...
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