1. Au bois


    Datte: 26/12/2018, Catégories: fh, fhh, inconnu, copains, grossexe, groscul, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, fouetfesse, nature, Auteur: Ln007, Source: Revebebe

    ... elle semble prête à casser d’autres barrières. Je ne m’en étonne pas. Sous un dehors classique et intello, j’avais déjà remarqué en elle une prédisposition à sortir des sentiers battus pour emprunter des chemins de traverse qui mènent tout droit aux plaisirs que d’autres s’interdisent. C’est d’ailleurs cette ambivalence feutrée qui m’avait séduit chez elle : ce mélange de classicisme bon teint et de sensualité résurgente. Son adhésion aux conventions sociales ne l’empêche pas, in fine, d’assouvir ses envies secrètes.
    
    — On change d’endroit ? Je ne vais pas rester éternellement debout et on ne peut pas s’asseoir, ici.
    
    Elle a raison. Notre enclos est trop confiné pour la suite de nos aventures.
    
    — D’accord. Trouvons un autre coin.
    
    Naturellement, elle s’apprête à se rhabiller.
    
    — Tu remets ton chemisier ? On ne va pas loin et il n’y a personne aux alentours. Reste donc comme ça, ça te laissera le temps de t’habituer et tu seras plus à l’aise pour les autres photos.
    — Tu t’imagines que je vais me promener les seins à l’air ? Mais tu rêves tout haut !
    — Mais non… réponds-je sur un ton soigneusement détaché. Moi, tu me connais, et si quelqu’un te voit, il n’en mourra pas et tu enfileras vite fait ton chemisier.
    
    Son rire incrédule fuse mais elle est décontenancée, oscillant entre la raison qui exige qu’elle recouvre immédiatement sa pudeur et une envie naissante de transgresser un interdit qui, à bien y réfléchir, n’est pas si dangereux que ça. On n’est pas au ...
    ... Jardin du Luxembourg. Elle hésite encore, fait mine de se rhabiller puis se ravise.
    
    — Bon… Je te préviens, on ne fait que quelques pas, et s’il y a un pépin, tu assumes !
    
    C’est gagné. Autant pour elle que pour moi. Elle fourgue son soutien-gorge dans son sac et ramasse son chemisier. Pendant les premiers pas, elle est sur le qui-vive, plaquant l’étoffe sur sa poitrine, et ne cesse de regarder dans toutes les directions en maugréant« C’est n’importe quoi ! » et autres appréciations du même acabit. En fait de quelques pas, nous zigzaguons entre les fourrés, les taillis, les ronces et autres herbacées qui gênent notre progression. Elle finit par libérer sa poitrine. Elle est plus à l’aise et elle cesse de ronchonner.
    
    Pendant que nous déambulons, je reluque le balancement harmonieux de ses épaules et de ses seins. Je ne sais si le sourire énigmatique qu’elle affiche maintenant reflète la cocasserie de la situation ou s’il augure un futur prometteur. En tout cas, elle prend un plaisir de moins en moins dissimulé à errer les seins nus dans ce décor champêtre. Elle n’est plus sur la défensive, elle assume sa liberté. La situation devient émoustillante. Nous échangeons un sourire silencieux, certains désormais que notre jeu ira crescendo. La connivence aidant, tout devient plus facile.
    
    Je la précède et prends quelques photos. Tout en marchant, elle sourit à l’objectif, qui est devenu son grand complice. Une autre barrière est tombée.
    
    Après cinq minutes de marche, nous ...
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