1. Au bois


    Datte: 26/12/2018, Catégories: fh, fhh, inconnu, copains, grossexe, groscul, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, fouetfesse, nature, Auteur: Ln007, Source: Revebebe

    ... bien droite. La porte interdite s’entrouvre à peine. Le trou de ma pine s’y engouffre. Je pousse encore un peu. Mon gland glisse lentement mais sûrement, comme au ralenti. Elle est toujours serrée et j’éprouve une sensation exquise à sentir le bout de ma queue ainsi emprisonné dans cet orifice interdit. Je reste quelques secondes ainsi, le temps que son anus se façonne à cette entrée en matière. La double pénétration en est à sa première phase. Je sors et rentre à nouveau. Son sphincter s’est élargi. Je m’introduis encore d’un centimètre, forçant un peu plus son intimité secrète.
    
    Elle a un petit sursaut d’appréhension mais pas de douleur. Pour m’inviter à ne pas abandonner, elle prend ma main dans la sienne et pousse un peu sur ma queue. Elle rentre encore d’un centimètre. Elle commence à s’ouvrir, m’appelle de sa profondeur. Je poursuis ma progression, lentement mais implacablement. Je suis maintenant à moitié dans son cul, sans qu’elle rechigne. Elle commence à découvrir cette sensation unique d’avoir une deuxième bite en elle et elle ne le regrette pas. Le demi-tour est proscrit, il est acquis que nous irons jusqu’au bout. Je m’enfonce encore dans le tunnel. Elle a mal, forcément, mais elle sait que cette douleur va bientôt se métamorphoser en un plaisir insensé. Alors dans un élan d’impatience, elle s’enfonce sans faillir sur ma queue. Elle a un cri de douleur et serre les dents, les yeux clos, attendant que l’orage passe. Nous ne bougeons plus. Elle rouvre les ...
    ... yeux et souffle comme après une course éperdue, la sueur au front. Son cul est en feu mais elle a dompté la matière. Je suis complètement en elle.
    
    Pour la première fois de sa vie, la voici empalée dans le con et dans le cul. Combien de femmes n’ont pas éprouvé ce désir secret et lancinant d’être ainsi possédée ? De se vouer au plaisir, sacrilège depuis la nuit des temps, de remplir leurs deux orifices à la fois ? Elle a franchi le pas, guidée naturellement par ses dispositions sexuelles à la faveur de la providence.
    
    Elle est solidement arrimée mais il faut que son trou du cul se dilate avant de commencer la chevauchée fantastique. Je la tiens par les épaules, lui par les hanches. Il n’est pas idiot, il sait qu’il ne doit pas bouger pour le moment. Du fond de son cul, je fais coulisser lentement ma queue en arrière, comme si j’allais la libérer, mais je m’arrête à mi-parcours. Je m’enfonce à nouveau, jusqu’au bout. Elle est encore étroite mais bien disposée. Je recommence la manœuvre plusieurs fois, en remontant à chaque fois un peu plus. Elle s’ouvre franchement, maintenant. Je coulisse dans son fourreau avec une relative aisance. Elle y met du sien, accompagnant le mouvement d’une petite ondulation du bassin. Je prends ses seins dans les mains et les caresse doucement. Ses tétons sont durs comme du bois. Elle a les yeux mi-clos et se laisse entraîner.
    
    Elle seule peut savoir ce qu’elle ressent, mais l’expérience n’est pas pour lui déplaire. Pour ma part, j’éprouve un ...