Au bois
Datte: 26/12/2018,
Catégories:
fh,
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grossexe,
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forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
fouetfesse,
nature,
Auteur: Ln007, Source: Revebebe
... soleil !
Elle ne manque pas d’air, décidément.
— Accorde-toi une heure. Je te foutrai une paix royale.
— J’espère bien. Remets-moi un peu d’huile solaire.
— À votre service, maîtresse. C’est pour moi une douce servitude.
À nouveau je l’oins, côté verso cette fois, d’abord sur ses épaules et ses omoplates. Je la masse lentement, le plus délicatement possible, soucieux d’éviter désormais toute connotation sexuelle dans mes gestes. Me voici sur ses hanches, si douces, si souples. Maintenant les fesses. Sur chaque globe, j’appose un peu d’huile et les masse, d’abord sur les extrémités, puis vers le centre, là où se dessine la raie. Comment veut-elle que je reste stoïque ? Nous sommes nus et moi je ne suis pas rassasié. Surtout, il ne faut pas que ma queue la touche. Je rajoute un peu d’huile à la naissance de sa croupe, mes mains effleurant sporadiquement le vallon soyeux de son entre-fesses. Je décide de me mettre franchement derrière elle. Assis sur ses mollets, j’entreprends le massage des cuisses, de bas en haut. La voici totalement huilée. Elle peut enfin se livrer aux bienfaits au soleil.
Une demi-heure passe sans que nous échangions le moindre mot.
Soudain, un craquement de branche. Un autre, puis encore un autre.
Nous sommes pétrifiés pendant une seconde qui semble une éternité. Je tourne la tête et aperçois alors une silhouette à quelques mètres qui s’avance tranquillement. Très vite, je jette son chemisier sur ses reins et enfile maladroitement mon ...
... slip. Pas le temps de faire mieux.
— Ne bouge pas, lui dis-je doucement. Faisons comme si nous étions deux amoureux.
L’homme s’approche d’un pas sûr. Âgé d’une quarantaine d’années environ, trapu, il est vêtu d’un treillis et d’un débardeur. C’est sûrement un ouvrier chargé de l’entretien. Nous voilà dans de beaux draps.
— Qu’est-ce que vous faites là, vous deux ? Vous ne savez pas que c’est une propriété privée, ici ?
— On a cru que c’était abandonné et on s’est mis ici pour être tranquilles…
— Ben c’est raté ! remarque-t-il judicieusement.
Il est un peu fruste mais n’a pas l’air méchant.
— Bon, on est désolés. On s’en va.
— Normalement, vous devriez… Des fois, il y a des types louches qui viennent ici et je viens surveiller. Quand j’en choppe, je préviens la sécurité.
— C’est normal, acquiescé-je. Mais vous voyez bien qu’on n’est pas venus ici pour foutre le bordel. Juste pour prendre le soleil.
— C’est ce que je vois, oui.
Il allume une cigarette et l’observe à la dérobée, pas pressé de nous voir décamper.
— Si vous voulez, vous pouvez rester un peu, dit-il d’un ton plus amène. J’ai deux ou trois bricoles à faire dans le coin, mais après il faudra partir.
Je l’interroge du regard. Elle se tourne légèrement sur le côté et l’observe du coin de l’œil, plus attentivement qu’elle ne le voudrait.
— Vous êtes le gardien du château, en somme ! lui dit-elle avec un sourire engageant.
— À votre service. N’hésitez pas à m’appeler s’il y a un problème, ...