Une nouvelle boss
Datte: 26/12/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
Collègues / Travail
hsoumis,
fdomine,
pied,
Oral
fdanus,
sm,
confession,
Auteur: PabloKorbo, Source: Revebebe
... d’abord gardé ses légères socquettes, et j’aimais cet obstacle entre sa peau et ma langue.
Puis elle me demanda de les retirer à l’aide de ma bouche. Une fois ses pieds libérés, je suçai chaque orteil l’un après l’autre. Elle semblait aimer cette position de domination, moi, je ne voulais que lui faire plaisir. C’était devenu à ce moment, l’objectif même de mon existence, comme si rien d’autre n’existait qu’elle et ses fantasmes. Je continuais à lui lécher les pieds avec gourmandise, lorsqu’elle m’ordonna de lui lécher la chatte.
Je m’exécutai alors, et remontai lentement de ses pieds à sa vulve, en m’attardant sur ses jambes, léchant et embrassant tout le long de mon voyage, d’un sens à l’autre. Elle descendit sa culotte en soie noire, que j’humai avec plaisir, et écarta ses jambes en révélant une tonsure légère et magnifique. Je précipitai alors mon visage et ma langue à la rencontre de cette intimité offerte que je commençai à dévorer. Ma langue tourna autour de son clitoris, alors que mes doigts commencèrent à s’infiltrer dans ce territoire inconnu. Je fis des va-et-vient avec deux, puis trois doigts, tout en m’appliquant à ne jamais lâcher le rythme de ma langue, à l’accélérer maintenant, en sentant Taha vibrer comme un téléphone.
Son odeur, son goût étaient exquis. Je la sentis venir, et ne voulus qu’une chose, sa jouissance, qui causerait indubitablement la mienne. J’étais conquis. J’en profitai pour titiller son petit trou, ce qu’elle sembla apprécier. Elle ...
... m’indiqua néanmoins que c’était elle qui fixait les règles et m’enjoignit de m’appliquer à lui lécher son petit trou. J’obéis, tout en continuant à doigter son joli minou. C’était une sensation particulière, je me sentis presque prostitué mais j’étais satisfait d’obéir à cette femme fatale. Je sentis que quelque chose dans ma vie ne serait plus jamais pareil. Elle jouit, enfin, et je sentis se libérer ce flot de stress et d’anxiété par un râle sauvage et brutal, même si j’étais frustré qu’elle ne m’ait pas touché du tout. Mais enfin, ce n’était que le début de cette « relation » et j’aurais l’occasion de faire bien d’autres choses avec elle…
— Merci. Vous pouvez disposer…
Le lendemain se déroula sans qu’on ait de nouveau ce type de rendez-vous, c’est tout juste si elle me salua. Dans mon esprit paranoïaque, je me dis qu’elle m’avait fait tout ce cinéma pour rien, et qu’elle voulait seulement se faire plaisir une fois avec moi. J’imaginais déjà mes collègues suivant, tour à tour, pour lui faire la même chose et cela me rendait fou de jalousie. Je détestais cette femme !
Cependant, la semaine suivante, elle me convoqua pour un entretien avec pour motif un « réajustement des objectifs mensuels ». Un prétexte, bien entendu. La « réunion » devait se tenir, encore une fois, en dehors des heures traditionnelles du bureau. Je frappai à la porte, puis j’entrai. Elle m’indiqua la chaise en face d’elle.
— Comment allez-vous, mon cher John ?
— Très bien, merci, et vous ?
— ...