Une nouvelle boss
Datte: 26/12/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
Collègues / Travail
hsoumis,
fdomine,
pied,
Oral
fdanus,
sm,
confession,
Auteur: PabloKorbo, Source: Revebebe
Je m’appelle John Maggo. Du haut de mes 25 ans, je suis un homme relativement banal, avec comme seul avantage mon physique assez développé. Je suis brun, relativement petit, avec des yeux noisette, un visage, comme je l’ai dit, pas particulièrement beau.
Le mois dernier, j’ai appris qu’on devait changer de chef. J’occupe en effet des fonctions assez ennuyeuses dans l’administration, et le simple fait de savoir qu’un changement de chef s’annonçait excitait tous mes collègues. On se lançait alors sur des spéculations pour savoir qui devrait nous diriger maintenant. Des rumeurs faisaient état d’une cadre particulièrement sévère et cela ne me plaisait guère mais après tout, on n’avait pas le choix. J’imaginais devoir me justifier de mes écarts de conduite, dus notamment à pas mal de sorties, la veille de mes jours de boulot…
Ce lundi-là, vers 11 h, une jolie femme d’environ une trentaine d’années, plutôt grande, avec un visage joliment métissé, de long cheveux bruns et bouclés, habillée façon pornochic se présenta à l’équipe. Elle nous indiqua qu’elle était la nouvelle cadre et qu’elle attendait de nous une conduite exemplaire, elle ne tolérerait aucun manquement et blablabla…
Le baratin habituel. Une chose cependant me frappait, je ne pouvais me concentrer sur ce qu’elle disait, des banalités sans intérêt, tant elle dégageait un puissant parfum sexuel, qui me faisait un effet assez inattendu. J’eus tout juste l’attention de noter qu’elle voulait voir chacun de nous ...
... individuellement au cours de la semaine pour faire un point sur nos compétences et nous expliquer sa nouvelle politique. Pendant l’intervention, j’avais l’impression qu’elle passait beaucoup de temps à me scruter, à m’observer… Ceci dit, je ne savais si c’était pour moi ou parce qu’on lui avait dit que mes états de services n’étaient pas brillants.
Quoi qu’il en soit, la réunion se termina et je m’en allai pour déjeuner avec des collègues. Cette nouvelle chef, Taha Bowman, débarquait fraîchement de Mayotte où elle avait fait preuve d’une compétence exemplaire et, ses qualités étant recherchées en métropole, elle avait donc décidé de déménager. Elle fut évidement au centre de toutes les discussions à table, chacun y allant de son commentaire. « Tu as vu comme elle est gaulée celle-là ? » ; « franchement, je ne vois pas ce qu’elle a de si excitant » ; « il paraît qu’elle est partie de Mayotte car elle avait giflé un employé mais que comme son papa était bien placé dans l’administration, il lui a obtenu un poste ici ! »…
Je ne savais trop quoi en penser, sinon qu’elle m’obsédait toujours. Durant tout le repas, je n’avais pas décroché un mot, ce qui ne manqua pas d’interpeller mes collègues, car j’étais souvent loquace. De retour au bureau, j’étais obsédé par cette Taha et j’étais paniqué à l’idée d’une réunion en tête-à-tête durant laquelle il ne fallait rien laisser transparaître de cette obsession tenace…
Mon entretien personnel devait se tenir après le travail, aux ...