1. Nathalie et l'épicerie


    Datte: 14/02/2018, Catégories: fh, hplusag, toilettes, intermast, Auteur: Nathalie mèche brune, Source: Revebebe

    ... me rappelle qu’à ces mots, des larmes avaient noyé ses yeux et sa voix était devenue soudainement plus grave.
    
    Quand il me dit qu’il serait ravi d’avoir au sein de sa petite entreprise, " une ravissante jeune femme " (je ne me jette pas de fleurs, ce fut bien ses termes !). Je fus transportée de joie, le challenge me tenait à cœur. J’étais heureuse de l’avoir séduit et surtout, d’avoir réussi sans trop promettre mes charmes !
    
    Impatient de " gagner ", il me demanda de commencer dès le lendemain. Mais surtout, il devait s’absenter dans sa famille et il me confiait tout pour 3 jours.
    
    Pour mon premier jour, un jeudi ensoleillé, Monsieur Albert me pria d’être particulièrement serviable avec Monsieur André (son plus fidèle client depuis des années), " c’est un vieux Monsieur de 65 ans, il vous donnera sa liste de course, vous devrez remplir son panier et le raccompagner à la sortie. " J’allais très bien m’en sortir et en attendant les jeunes clients ou plutôt, les nouveaux clients, j’allais pouvoir m’entraîner à mon métier avec des personnes qui représentaient le passé de la boutique.
    
    Le lendemain, toute belle derrière la caisse enregistreuse, j’attendais un éventuel client, j’ai vite compris que j’allais terriblement m’ennuyer. Les jours de calmes, je me vengeais sur les Mars, Twix et autres Lions présents dans le rayon friandises. Je ne voyais pas beaucoup de client, la situation était critique pour ne pas dire désespérée ! Au début, je trouvai ces petits vieux un ...
    ... peu rébarbatifs, mais rapidement, je m’y suis faite et après 4 semaines, je commençais à les apprécier.
    
    J’étais heureuse lorsqu’un client venait rompre ma solitude, Monsieur André venait une fois la semaine, bien qu’il soit sourd, je saisissais l’occasion de parler avec quelqu’un. Il était toujours très gentil avec moi, et malgré son grand âge avait le regard vif, quelques fois j’avais l’impression d’être regardée par un jeune homme de 20 ans.
    
    Un jour comme beaucoup d’autres, Monsieur André me demanda le plus naturellement possible de l’aider à aller aux toilettes. Un peu étonnée, je dus l’accompagner en lui tenant le bras, ensuite, sans le moindre vice, il me pria de lui ouvrir le pantalon et de lui sortir le sexe. Un peu gêné, il m’expliqua que ses mains tremblaient trop, et qu’il devait être assisté. Son infirmière personnelle n’étant pas là, je devais donc la remplacer. Mise en confiance par ce vieil homme dénué de vice, j’acceptais de déboutonner son pantalon, puis de sortir avec précaution l’objet de son embarras. Je dus décalotter son sexe fripé avant de purger dans l’urinoir sa vieille prostate. Il me remercia en me disant " que mon petit ami avait beaucoup de chance de m’avoir ", je ne pus m’empêcher de rire en lui répondant que mon ami n’avait pas ce genre de problème. L’esprit toujours très vif, M. André répliqua aussitôt : " ce que je voulais dire, c’est que vous avez l’habitude de vous servir d’une queue, cela se voit à votre façon de décalotter un gland" ; ...
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