Souvenirs d'une productrice de films X
Datte: 23/12/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Jademik, Source: Hds
Mon vieux complice Georges, l’éditeur de la présente collection, m’ayant convaincue de vous livrer quelques-uns de mes souvenirs, des souvenirs évidemment très coquins, je me prête donc au jeu avec plaisir.
Je me présente d’abord. Je suis directrice des programmes d’une société de médias, titre bien pompeux (si j’ose dire) pour une cofondatrice de label vidéo érotique ! Il y a déjà plus de quinze ans, à l’époque où Georges n’était encore que reporter pour des magazines « pour hommes », j’avais 19-20 ans et suivais des cours de psycho à la fac de Strasbourg. Pour me faire un peu de blé, je faisais des séances photos chez une amie photographe, Kate. C’était de la très belle photo d’art en noir et blanc, le plus souvent du nu, avec ou sans partenaire. Essentiellement des filles, mais quelquefois des hommes. Un soir de séance, un beau métis, dont je ne me souviens plus le prénom, devait poser avec moi dans une position un peu équivoque. Jusque là rien d’exceptionnel, sauf que le type commença à bander ! Au début, cela nous fit plutôt rire, Kate et moi, mais au bout d’un certain temps, le mec bandant de plus en plus, cela nous troubla plus qu’autre chose et la séance pris une autre tournure. Pendant qu’elle mitraillait, Kate me demanda soudain d’approcher ma main de son organe, puis de le caresser. Je le fis sans rechigner car le sexe musculeux du type m’avait moi aussi terriblement excitée. Après quelques massages par le dessous, je saisis l’engin et le masturbai lentement, ...
... ce dont Kate ne perdit pas une miette, mitraillant tant et plus. Cela devint encore plus chaud lorsqu’elle me demanda de m’agenouiller devant lui et simuler une pipe. La scène ne fut photographiée que de dos pour garder le mystère, mais l’acte fut bien plus qu’une simulation puisque le type déchargea dans ma bouche…
Cette expérience nous interpella, Kate et moi, et bien que sans doute un peu amoureuse de moi, celle-ci me recommanda à un de ses amis allemands, Holger, qui photographiait et filmait pour Beate Uhse et Private. Un peu réticente au début, l’avance conséquente (en espèces) que celui-ci me fit me décida à tenter l’aventure. Je fis ainsi plusieurs séances d’essai érotiques puis pornographiques, en diverses situations. Holger, qui connaissait bien la psychologie féminine, opérait progressivement, sans brusquerie, et c’est ainsi qu’il me mena au bout d’un an à ce qu’il voulait : me filmer en plein ébat. J’étais très jeune, sans trop d’avenir, il avait la quarantaine à peine, il était doux, séduisant, rassurant, me proposait un avenir radieux ; c’est ainsi que je tombai facilement dans ses griffes… et dans son lit. Situation, certes, assez bizarre de baiser devant son amant avec de nombreux mecs, mais je dois dire que ce délire ne me déplut pas. Je me sentais importante… Après plusieurs essais, je fus intégrée à quelques productions ambitieuses de DVD mais j’eus du mal à me faire aux exigences des réalisateurs, tous plus médiocres et incultes les uns que les autres. ...