Le sein gauche de ma petite stagiaire
Datte: 23/12/2018,
Catégories:
Hardcore,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Mature,
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... visage de mon collègue qui me regardait de temps à autres.
En revanche, son sein ne débordait plus. Elle buvait, elle bougeait, mais le téton semblait avoir décidé d’aller dormir aussi, à l’abri des regards.
Il devait être deux heures du matin et j’ignore combien de litres de vin j’avais englouti depuis le début de l’inauguration qui avait débuté à 19h. Je me souviens juste qu’à un moment donné, j’ai pincé la bretelle droite de la robe de Marie pour qu’elle dévale son épaule et que son sein soit bien visible. Elle s’est alors tournée vers moi, avec ses yeux hagards, pas lus étonnée que si je lui avais caressé une joue.
J’ai pris son sein dans le creux de ma main et je lui ai dit :
« Ça ne t’ennuie pas que je te tripote devant mon collègue ? »
Elle a fait non de la tête en souriant vaguement.
J’ai alors ajouté :
« Parfait. Mais pour éviter qu’il soit jaloux, tu veux bien relever ta robe et lui montrer ta culotte ? »
Elle n’a pas répondu.
Elle s’est tournée vers Léo, puis elle s’est cambrée afin de tirer sur le tissu pour le faire montrer le long de ses jambes, jusqu’à ce que sa culotte soir visible et qu’elle puisse écarter les jambes sans être gênée.
Quelques minutes plus tard, j’étais allongé sur mon lit, Marie à quatre pattes devant moi, à poil. Elle me suçait tandis que Léo cramponnait son cul en lui bourrant la chatte, sans capote.
Ensuite, il me semble qu’il l’a enculée, mais je ne suis pas certain. Les images restent floues dans ma ...
... mémoire. Je me souviens juste avoir giclé sur le pubis de Marie, pendant qu’elle était en train de sucer Léo qui lui tripotait un nichon à quelques centimètres de mon visage.
Le lendemain, je fus réveillé par des gémissements qui venaient du salon. Marie n’était pas à mes côtés dans le lit. Je me suis levé et je l’ai trouvée en train de se faire sauter dans le canapé, par devant, par Léo qui avait dormi là. Il m’a regardé au passage et je lui ai fait un sourire.
Dans la cuisine, j’ai bu deux verres d’eau et j’ai préparé du café. Je me suis un peu rincé et habillé dans la salle de bains, puis j’ai quitté l’appartement pour aller chercher des viennoiseries. Depuis la cage d’escalier, on entendait Marie qui poussait des :
« Oh oui, vas-y, baise-moi… Oh oui… Oh oui, ta bite… Putain… Baise-moi encore, vas-y à fond… Bourre ma chatte… Oh putain… »
A la boulangerie, j’ai pris trois pains au chocolat et trois croissants. Je les aimais bien dorés, encore un peu chauds et mous. En ressortant, j’ai croisé une connaissance avec qui j’ai bavardé pendant quelques minutes.
En devanture de la maison de la presse, j’ai appris que l’Algérie avait battu le Sénégal en finale et qu’un homme d’origine guinéenne, qui n’avait rien demandé à personne, s’était fait tabasser à mort par un imbécile, un peu avant le match.
J’ai tapé le code de l’interphone et, depuis l’escalier que j’ai grimpé sans hâte vers le premier étage, j’ai entendu Marie qui poussait des :
« Han… Han… Han… »
J’ai ...