1. Le sein gauche de ma petite stagiaire


    Datte: 23/12/2018, Catégories: Hardcore, Voyeur / Exhib / Nudisme Mature, Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    Ce soir-là, il y avait une bonne dizaine de personnes dans mon salon. C’était au terme d’un resto qui avait lui-même succédé à l’inauguration d’une expo de photos où nous avions déjà bien bu.
    
    Il y avait de la musique, un brouhaha, et, à un moment donné, en revenant de la cuisine avec deux bouteilles de vin blanc, je suis tombé directement sur le sein gauche de Marie qui débordait de l’échancrure de sa fine robe noire à bretelles. En face d’elle se tenait Léo, un collègue journaliste qui était très bavard. Pour mieux entendre ce qu’il lui racontait, Marie s’était avancée vers le bord du canapé et elle avait croisé ses bras sur ses genoux. Son sein avait profité du mouvement pour apparaître.
    
    Marie était en train de suivre un stage à la rédaction du journal, sous ma responsabilité. Elle était en deuxième année à la fac de lettres et, au terme de la première semaine de son stage, dans ma voiture de fonction, elle m’avait sucé dans un chemin forestier. J’avais éjaculé dans sa bouche cette fois-là. Puis nous avions baisé chez moi le lendemain.
    
    Elle était assez grande et mince. Elle avait de superbes hanches, la peau très claire, les cheveux mi-longs et bruns. Quant à ses seins, ils étaient plutôt petits, fermes et pointus, dotés de superbes aréoles.
    
    J’ai déposé mes deux bouteilles sur la table du salon, puis j’ai relevé les yeux vers Marie. Léo n’avait pas eu la délicatesse de lui faire remarquer que son sein gauche était visible de tout le monde.
    
    Je me suis ...
    ... rassis à ma place et j’ai débouché les bouteilles. Je n’ai pas pris la peine de contourner l’assemblée bruyante qui occupait mon salon afin de dire à Marie, à voix basse, que tout le monde voyait son sein.
    
    Ceci pour une raison très simple : je m’étais mis à bander.
    
    Je ne fus pas étonné que mon collègue Léo soit encore là une fois que tout le monde eut quitté l’appartement. Entre temps, j’avais vu Marie rajuster la bretelle de sa robe, à deux reprises puisque le sein avait débordé une autre fois.
    
    J’ai raccompagné les derniers convives vers la sortie, puis je suis venu m’asseoir à côté de Marie, en face de Léo. Nous avions à peu près le même âge, lui et moi : la quarantaine bien engagée. Nous nous connaissions bien. Nous étions bien ivres, mais sans doute pas autant que Marie qui, sans donner l’air de cesser d’écouter Léo lui raconter sa vie, avait les paupières lourdes comme des cailloux sur ses grands yeux de biche.
    
    J’ai allumé une cigarette, maladroitement.
    
    Un énième verre à la main, Léo était en train d’évoquer je ne sais plus quelle anecdote de sa carrière, et Marie ne cessait d’acquiescer en l’écoutant, les yeux rivés à lui.
    
    Elle faisait des petits :
    
    « Hum… hum… »
    
    L’air de le suivre attentivement, alors qu’elle planait complètement.
    
    Je ne suis pas intervenu tout de suite. Je n’ai pas voulu couper Léo. Je l’ai écouté tout en observant les attitudes de ma petite stagiaire qui n’eut pas un seul regard pour moi dans ces minutes. Elle était scotchée au ...
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