1. Eté 2018 Voisins voisines - Maria raconte sa vie


    Datte: 23/12/2018, Catégories: Hardcore, Première fois Partouze / Groupe Auteur: marika842010, Source: xHamster

    ... devant moi, je voyais leurs sexes parfois au hasard de leurs positions… J’eus envie de partager, malgré ma lutte intérieure…
    
    Elle jouit quand il la pénétra, puis continua, ils me regardaient…
    
    - Viens, rejoins-nous… Tu es jeune, mais tu dois avoir fait l’amour ?
    
    - Oui, j’ai un copain. On s’aime je crois…
    
    Elle m’enlaça, m’embrassa, me caressa, et elle m’offrit à lui… Il me prit et me fis jouir, tandis qu’elle caressait mes seins…
    
    - Tu vois, Tania, nous sommes des prédateurs sexuels, on t’a eue tous les deux… Nous pourrions t’attacher, te vendre, t’offrir à d’autres couples, des hommes, vicieux, aimant les jeunes gens… T’envoyer vers l’enfer de la rue…
    
    - Merci pour la leçon. Mais j’ai fait semblant de jouir, je n’ai rien senti quand il m’a prise, et j’ai adoré tes caresses Tania, tu as aimé ma douceur, mon innocence. Mais je trichais aussi…
    
    - Je n’ai pas triché l’autre jour… Mais, oui, c’est bien, tu es une femme sensuelle.
    
    - Oui, j’ai marché moi aussi… Je t’ai entendue jouir quand je t’ai prise…
    
    - Je sais, tu es un bon amant, et toi Tania, je sais que tu aimes caresser les filles dans tes cours du soir… Je pense que je suis prête à affronter la vie, je pars demain.
    
    Je pris le car, j’avais de quoi vivre un trimestre…
    
    Je collectionnais les aventures, les pétages de plomb, les dégringolades, les erreurs de jugement…
    
    Je connus la drogue, la rue, les bagarres entre filles qui se déchirent pour un micheton…
    
    Je tombais bas, bien bas, souteneur, ...
    ... mafia, pornographie…
    
    J’appris à aller droit au but, à frapper la première, à me vendre au plus offrant, pour quitter la rue.
    
    Je persistais… Le cinéma m’attirait.
    
    J’étais jolie, élancée, je plaisais, je cherchais, on m’invitait…
    
    Mais il fallait que je me garde de tout, et que j’évolue plus haut, dans la bourgeoisie, même si, le haut ressemblait au bas par certains côtés humains…
    
    Je réussis presque du premier coup, avec un ponte de l’industrie à Milan, soirées huppées, bijoux, coupés sportifs et grosses Mercedes aux vitres teintées…
    
    Je pris de l’argent et en mettais de côté un maximum, me privant parfois.
    
    J’échouais vers le lac de Come, la Suisse me tendait les bras.
    
    La Suisse, pour moi pauvre italienne, était le symbole de la réussite, le pays du luxe, de l’argent, de la crème…
    
    Un directeur financier, producteur à ses heures, tomba amoureux de moi… Je craquais…
    
    Films, succès relatifs, mais confirmés, je devins « à la mode ».
    
    Je restais très proche du sexe, mais pour un premier rôle…
    
    « Coucher n’est pas jouer », un film culte pour l’Italie, enfin pour les italiens…
    
    Je rencontrais Claudia dans ce film érotico-sentimental, où l’on découvrait largement nos anatomies…
    
    On devint amies, se téléphonant, partant au bout de la Suisse, en France, tournant en Espagne, nous faisant du blé, et des soirées chaudes, dans lesquelles j’étoffais mon carnet d’adresses…
    
    Nous ajoutions au fil des mois « Baiser n’est pas jouer », « Jouir n’est pas jouer », ...
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