L'examen
Datte: 20/12/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
hplusag,
couple,
médical,
massage,
intermast,
Oral
69,
nopéné,
amourdura,
couple+f,
h+medical,
Auteur: Cidoup, Source: Revebebe
... Peut-être à cause de la souplesse de ma queue, inhabituelle en ces moments-là ? Je mordille le clitoris. Francine frémit. Mon sexe, qu’elle a presque entièrement avalé, étouffe ses gémissements. Je la sens près de la jouissance et active mes caresses… là… Oui ! Mes doigts clapotent dans son vagin qui dégouline de cyprine. Tout à coup, elle serre les cuisses, emprisonnant ma tête. Ouille ! Elle m’a presque mordu ! Ce n’est pas grave.
Au bout de quelques secondes Francine retire ma queue de la bouche.
— Excuse-moi, je n’arrive pas à te faire plaisir.
— Oh que si ! Continue !
— Mais ça n’a pas l’air de te faire de l’effet.
— Peut-être, mais c’est délicieux.
— Ah bon ! Puisque tu le dis.
Elle reprend sa sucette, pas convaincue. J’en grogne de satisfaction et m’emploie à étancher ses lèvres intimes.
— Ah quand même ! J’y ai mis du temps mais j’y suis arrivée !
Francine est fière de sentir le barreau se développer entre ses lèvres et active ses léchouilles sur la tige. Je suis à la fois déçu et content. Content de récupérer une virilité qui m’échappait, mais un peu déçu de ne pas retrouver la délicieuse sensation du gland qui roule sous la langue. Le monde est mal fait ! Tant pis, ce n’est pas la faute de Francine et je m’efforce de lui procurer un autre orgasme… Aïe ! La sève monte dans la tige. Non, pas encore, c’est trop tôt !
— Arrête !… S’il te plaît !… ...
... Arrrgh !
Trop tard ! Avant que Francine comprenne qu’elle doit cesser de sucer, le sperme s’écoule dans sa bouche. Elle déglutit consciencieusement et termine de nettoyer le gland pendant que mes doigts investissent ses orifices et que ma langue râpe le clitoris.
— Aaah !… Ouiii !
Je me dégage et m’installe à ses côtés, la serrant contre moi. Sa respiration s’assagit.
— Pardonne-moi mon chéri, j’ai mis trop de temps. La prochaine fois, je te promets, je ferai attention.
— Tu es un amour.
Trois jours plus tard, Laurette me téléphone. Elle a obtenu pour moi un rendez-vous auprès d’un professeur réputé. C’est un homme, ce coup-ci. Ses rudes manipulations ne me font aucun bien, ni celles de son assistante, une infirmière revêche qui semble vouer une haine farouche à la gent masculine, à en croire les regards mauvais qu’elle me lance. Au bout de plusieurs examens et contrôles divers, ce spécialiste me laisse peu d’espoir. D’après lui, mes corps caverneux sont en piètre état et je ne retrouverai pas, à moins d’un miracle, la rigidité nécessaire à l’introduction.
Je suis effondré. Oh ! Pas pour moi, mais pour ma femme. Francine a beau m’assurer que les caresses réciproques que nous échangeons sous la couette suffisent à son bonheur, je sais qu’il arrivera un moment où son corps réclamera une nourriture sexuelle plus consistante. Que c’est dur de vieillir…
À suivre