L'examen
Datte: 20/12/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
hplusag,
couple,
médical,
massage,
intermast,
Oral
69,
nopéné,
amourdura,
couple+f,
h+medical,
Auteur: Cidoup, Source: Revebebe
... d’échographie et étudie avec attention les moirages qui se dessinent sur l’écran.
— Hum, hum… Bon, je vais faire un toucher rectal. Soulève le bassin.
Elle enfile un gant de latex. Laurette, le visage inexpressif, fait tourner son doigt. Oh ! Cette sensation ! Je maîtrise avec difficulté un soupir, pas question que Francine se moque de moi ! Nouveau soupir quand le doigt quitte l’anus. L’examen aurait pu durer plus longtemps.
— Alors ? Qu’est-ce qu’il a ? demande Francine.
— La prostate est un peu grosse, mais c’est presque normal à son âge. Faudra juste la surveiller.
Laurette me passe du papier pour essuyer le gel dont elle m’a enduit pour l’échographie et le jette avec le gant dans une poubelle. Elle approche sa chaise de la table d’examen et soulève le pénis du dos du doigt. La verge reste souple malgré la douceur du frottement.
— Par contre, je trouve que son sexe est un peu paresseux.
— Moi aussi, il m’inquiète, renchérit Francine qui se lève et prend ma main.
Les deux femmes contemplent mes bijoux de famille complaisamment étalés. Je me sens ridicule et maudis mon manque de réaction.
— Tu crois qu’en le caressant ?… suggère Laurette.
— Je pense, d’habitude il adore ça.
— Tu permets ?
Sans attendre une réponse qu’elle sait affirmative, la doctoresse manipule de deux doigts la tige molle. Je suis horriblement gêné. Une autre main que la mienne ou celle de mon épouse me caresse. Cela ne m’était plus arrivé depuis notre mariage. Laurette fait ...
... glisser la peau sensible sous le regard intéressé de Francine. Le gonflement de la verge trahit le plaisir que j’éprouve. J’ai honte et m’en veux de ne pouvoir contrôler mes réflexes.
— Ah, quand même ! s’exclame mon épouse.
— Oui, renchérit Laurette, j’ai failli me vexer !
— Heureusement qu’il s’est repris.
Ce n’est plus du bout des doigts que le docteur me manipule. Sa paume se referme sur la tige dilatée et la caresse se transforme en véritable masturbation. J’ignore sa signification thérapeutique mais je n’ai plus honte maintenant de ma virilité retrouvée et m’abandonne à la douceur du traitement. Je souris à Francine qui avance une main gourmande.
— Quand il aura atteint la raideur maximum, explique Laurette, je contrôlerai…
— Arrrghh !
Quelques gouttes giclent du méat et viennent s’écraser sur le poignet de Laurette et la main de Francine.
— Oh le cochon ! Tu pouvais pas te retenir !
— Euh… je m’excuse mais j’ai pas pu. Ça m’a échappé.
— C’est comme à la maison, renchérit mon épouse qui m’essuie avec douceur.
Laurette reprend mon sexe en main. Quelques coups de poignet sans résultat. Elle joue distraitement avec la tige molle. Cela me fait un bien immense quoique sans manifestation physique.
— Bon, pas la peine d’insister, déclare-t-elle en m’abandonnant. Tu peux te rhabiller.
La perte des doigts sur la verge me fait soupirer.
— Euh… C’est tout ce que tu fais comme contrôle ?
— S’il te plaît, Laurette, supplie Francine, j’aimerais savoir à ...