La secrétaire si particulière - Histoires de Sexe

La secrétaire si particulière

... laissez-moi vous aider un peu, lui dit-elle.

Elle remonta sa jupe à la taille, exposant à la vue de la dame son beau sexe épilé. Elle ne portait jamais de culotte au travail, c’était bien plus rapide pour soulager les patients en souffrance.

— Ne touchez pas, mais regardez bien cette belle chatte juteuse et ce joli petit clito gonflé. Ils sont à point pour le docteur et sa jolie patiente. En sortant d’ici je vais vite aller prendre mon pied avec eux. Vous m’excitez aussi, Madame Pingot ! Vous savez, je me doutais bien que vous étiez une vieille salope jouisseuse et gouine, mais vous êtes en plus une experte de la sodomie ! Là… bougez bien sur lui, avalez-le jusqu’à la garde, oui, très bien ! Vous sentez sa grosse bite qui gonfle et qui bat dans votre ventre, dans votre petit cul serré de bourgeoise. Ah là là, je l’aurais bien pris dans le cul aussi, ce gros tricard, vous savez ! Allez, mon bonhomme, prenez-la comme une chienne ! Une autre fois, je m’occuperai de vous, c’est promis, matez bien ma chatte et elle vous donnera un rendez-vous rien que pour vous.

La dame bougeait et haletait sur l’homme relâché. Elle répondit :

— Oh oui oui, je te boufferai la chatte, petite salope, je le sucerai ton petit cul de secrétaire. Tu m’excites, tu me plais, j’ai envie de ton jus sur mon visage, j’ai envie que tu me ...

... bourres avec tes doigts, j’ai envie que tu me pisses dessus. Tu mettras ta main là où ce gros porc a mis sa bite aujourd’hui !

La femme ne se retenait plus. Elle s’agitait maintenant en cadence sur le sexe de l’homme. Elle avait soulevé son tricot et se malaxait les seins devant Sylvia. Celle-ci en profitait pour se doigter un peu, afin de maintenir son excitation à un niveau supportable, sans quoi elle aurait déjà joui plusieurs fois.

Dans un dernier râle, la femme se renversa en arrière contre l’homme, portant la pénétration au maximum. Lui, ayant tout juste repris ses esprits mais comme tétanisé, lâchait son foutre dans le cul de la femme. Elle sentit la chaleur du sperme qui jaillissait au fond d’elle en longues giclées.

Sylvia les enviait un peu. Elle les regarda, ne pouvant réprimer une légère émotion devant cette scène d’amour presque animale. Elle vint poser sa bouche sur celle de la femme et l’embrassa longuement en lui caressant les seins et les cuisses. Les deux femmes restèrent ainsi plusieurs minutes, puis Sylvia s’écarta et aida l’autre à se relever.

C’est à ce moment qu’elle entendit le médecin l’appeler et sortit de la pièce, après avoir chuchoté dans l’oreille de sa complice forcée :

— Revenez demain vers 14 heures, le docteur sera parti en visite et je serai là rien que pour vous !