La secrétaire si particulière - Histoires de Sexe

La secrétaire si particulière

... des heures. Depuis l’appel téléphonique de Camille, elle savait… Et quand elle l’avait vue entrer elle s’était bien doutée de ce qui allait se produire en salle d’attente.

Dès que le docteur avait fait entrer la jolie cliente, Sylvia s’était précipitée sur l’homme mis à rude épreuve par la belle Camille (voir chapitre 1).

Le pauvre homme bandait encore comme un damné. Elle le sermonna un peu. C’était le quatrième incident de ce genre depuis le matin, et sa pauvre chatte était encore prête à servir comme pour les trois autres, mais, là, elle voulait la garder bien juteuse pour la nouvelle patiente.

Elle se tourna vers la dame assise en face de lui. Elle avait déjà eu un orgasme en se doigtant alors qu’elle matait la jeune femme, mais elle avait une constitution robuste et semblait encore toute émoustillée et prête à remettre le couvert.

— Madame Pingot, va falloir m’aider à soulager ce monsieur !
— Que voulez-vous dire ?
— Il a été très secoué par ce qui s’est passé mais pas assez pour soulager cette trique énorme qui déforme son pantalon.
— Sucez-le vous même ! Moi, j’ai mon compte !
— Ah ca, ça m’étonnerait ! Vous êtes encore toute chaude, ça se sent à plein nez, j’ai l’habitude ! Et puis, ce n’est pas dans mes attributions de sucer les patients. D’habitude je les baise mais cette fois j’en ai eu assez pour la journée.
— Je ne le sucerai pas non plus. Mais je veux bien qu’il m’encule si ça peut vous aider.
— Il n’est pas en état de discuter, je crois ...

... que ça fera l’affaire.
— Oui, mais alors à une condition… Je veux que vous me prépariez vous-même la rondelle.
— Pas de problème, allez, mettez-vous à genoux et relevez votre jupe.

Position prise, les deux femmes s’activèrent, ne réalisant pas que leurs gémissements soumettaient le pauvre homme à la torture. Sylvia lécha longuement l’anus odorant de la dame et le lubrifia de son mieux de sa salive. La femme était un peu grassouillette, et sa chair molle et blanche était très douce et sentait le savon de luxe. Après tout, se dit Sylvia, ça fait un bon hors d’oeuvre avant le festin… une mise en bouche, quoi !

Une fois la vieille bien préparée, Sylvia la présenta devant l’homme. Elle dégagea le sexe battant et tuméfié du pantalon et décalotta bien le gland.

— Vite, s’impatientait la femme, pressez-vous enfin, je ne tiens plus, moi !

Une forte odeur de sexe mâle se répandit dans la pièce, électrisant les deux femmes.

La secrétaire plongea les doigts dans la chatte de la femme qui sursauta de plaisir, puis elle en ramena une mouille épaisse et visqueuse dont elle tartina le gland dressé. L’impatience des deux partenaires forcés se faisait sentir, lorsque Sylvia dit :

— Allez-y maintenant.

La dame s’assit lentement sur le pal de chair tendu vers son cul et le fit facilement entrer au fond de son anus dilaté. Sylvia plaça les mains moites de l’homme sur les cuisses dénudées de la femme et vint se placer face à celle-ci.

— Puisque vous aimez les femmes, ...