1. Sus à la culotte


    Datte: 19/12/2018, Catégories: noculotte, grp, Collègues / Travail hotel, caférestau, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Humour Auteur: Scarlett O, Source: Revebebe

    ... son pantalon vient frotter mon pubis. Il me colle contre le mur, ses mains divaguent, sa langue extravague, je sens des vagues d’allégresses qui montent quand ses pognes descendent sur mon ventre, mes cuisses et…
    
    Il me gifle sans crier gare :
    
    — Comment, tu n’as pas de culotte, mais tu es une vraie salope, offerte à n’importe qui !
    
    (*)Le Panorama de Rac&#322awice est une fresque picturale panoramique de 114 mètres pour 15 mètres de hauteur retraçant la bataille de Rac&#322awice durant l’insurrection de Ko&#347ciuszko en 1794.
    
    (**) Saint-Jean-Népomucène est l’un des saints les plus vénérés en Pologne. Une grande statue lui est dédiée à Wroc&#322aw.
    
    (***)Les Krasnala sont de petites figurines représentant des nains, généralement en bronze, placées dans les rues de Wroc&#322aw à partir de 2001 où ils commémorent le mouvement anticommuniste. Leur nombre n’a fait qu’augmenter, et désormais, ils forment incontestablement l’une des attractions les plus réputées de la ville. En 2015, il y avait plus de 350 nains.
    
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Nains_de_Wroc%C5%82aw
    
    Acte 3 - Une sans-culotte culottée !
    
    Je suis, Claudia, 24 ans et vous devinez qu’avec ce patronyme, je chausse un pied dans l’hexagone, l’autre dans la botte. Sans être moche, je ne prétends pas à la beauté et estime mon physique assez banal à l’exception de mes jambes qui sont – foin de modestie – parfaites. Au reste, je suis libre d’attache et d’humeur plutôt libertine, refusant en tout cas les ...
    ... désagréments d’une vie de couple qui m’interdiraient de porter la culotte.
    
    Assise à la terrasse du Hiéronimus, je déguste longuement mon café en me prélassant dans les effluves dorés de ce soleil qui me réchauffe indolemment en cette fin d’été indien. Cette douceur me permet d’oublier ma grosse contrariété du moment. En effet, hier mon généraliste m’a révélé que je suis affligée d’une cystite aiguë, fort joli nom pour une si ignoble chose. Alors je me bourre d’antibiotiques, j’ai doublé la dose prescrite sans résultat immédiat, et je passe le tiers de ma vie aux toilettes, ce qui ne m’empêche pas d’avoir régulièrement des pertes surtout lorsque j’éternue. Un désastre en ce qui me concerne, moi qui ne porte jamais de culotte ou autres accessoires affiliés. Là, je suis obligée d’y adjoindre cette misère : un protège-slip. Fouillant mes placards ce matin, je n’ai trouvé que quelques vieilleries indignes d’héberger mes fesses et, évidemment, un 11 novembre, inutile de courir les magasins.
    
    Invitée ce midi à déjeuner chez mes parents, j’en pique subrepticement une à ma mère que je lui restituerai après guérison. Rapide détour à la salle de bain où je troque l’indigence contre le grand luxe. Quel désastre, malgré la finesse du linge, un carcan m’enserre et surtout… surtout ces élastiques disgracieux me font des bourrelets infamants qui crèvent la toile en laquelle j’aime m’emballer très serrée.
    
    Cela m’évoque ma copine, Ursula, qui lors d’un voyage en Pologne, a dû s’en ...
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