1. Sus à la culotte


    Datte: 19/12/2018, Catégories: noculotte, grp, Collègues / Travail hotel, caférestau, toilettes, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Humour Auteur: Scarlett O, Source: Revebebe

    ... leur avez cloué le caquet, ils en restent encore estomaqués ! Depuis le temps que je me divertis à les faire frire tous ces branleurs, ces vicelards et ces voyeurs impénitents qui, en dépit de leur fonction, ne savent pas distinguer unTribade, d’unTriumphou d’unAubade sans y toucher.
    — Je crains de ne guère les avoir instruits et me suis contentée d’aimanter leurs yeux plus sur la camelote que l’emballage, bégaie-t-elle en écartant sa main et découvrant son sexe nu.
    — Ainsi, vous ne portez pas de culotte, s’exclame Betty qui, même en se baissant, n’avait pu le constater précédemment. Vous avez osé ce à quoi je ne me suis jamais risquée ! Permets que je t’embrasse !
    
    Sébastienne un peu sur un nuage et affolée par ce soudain tutoiement consent, mais Betty loin de venir témoigner de son enthousiasme sur sa joue se jette aux genoux de sa patronne entre lesquels elle introduit sa frimousse et baise une chatte suant l’angoisse et sans doute d’autres relents aussi. La charge est si fougueuse, surprenante et voluptueuse, que Mlle Strumpf s’en trouve désarçonnée. Hormis son cri perçant qui ébranle toute la direction, elle s’abandonne à cet hommage sans réserve, éperdue. Les deux complices ensuite s’appliquent à légitimer la marque de la maison avec une conscience professionnelle exemplaire.
    
    Un an plus tard, on célèbre les noces de Sébastienne et de Betty, en grand apparat. La photo des convives est réalisée devant la mairie, tous enTribade exclusivement, la marque ayant créé ...
    ... depuis une ligne de sous-vêtements adaptés à la trinité masculine.
    
    Acte 2 - Déculottée au milieu des Krasnala de Wroc&#322aw
    
    Quand j’aurai annoncé que je me prénomme Ursula, je sais ce qui vous fera fantasmer ! Eh bien non, mes seins sont tout petits, enfin juste moyens… néanmoins quand on s’appelle Ursula, chausser du bonnet B, c’est pas la gloire ! Là, sur ce vol Orly Wroc&#322aw mon voisin ne cesse de mater mes guibolles. Normal avec ma jupe ultra courte et mes escarpins.Bon, je sais qu’on ne vit pas par et dans le regard des autres, mais j’suis conne, j’aurais quand même dû prendre au moins un pantalon. Voilà où me conduit ce désir de me conformer aux demandes des autres. Quand El&#380bieta, ma cousine a su que je venais passer ce week-end de la Pentecôte chez eux, au téléphone elle m’a intimé :
    
    — Habille-toi classe, je veux que tu représentes l’élégance française. Pas de jeans et d’ailleurs pas de pantalon, je veux être fière de toi, ici tout le monde t’attend. En fait de cousine c’est une vague arrière-petite-cousine de mon père que je vois tous les cinq ans, plutôt sympa et prof de français dans l’ancienne Breslau rebaptisée Wroc&#322aw où l’on ne veut surtout plus parler ni l’allemand, ni le russe.
    
    Qu’est-ce qu’il fait chaud dans ce putain d’avion ! J’ai la sueur qui dégouline le long de mon échine, la raie des fesses en piscine et les cuissots dans l’autocuiseur ou plutôt l’aérocuiseur. Enfin l’aéroport, tout confiné lui aussi et manquant d’air où j’achève ...
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