Sus à la culotte
Datte: 19/12/2018,
Catégories:
noculotte,
grp,
Collègues / Travail
hotel,
caférestau,
toilettes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Humour
Auteur: Scarlett O, Source: Revebebe
... tourne sa chaise de façon à ne pas dissimuler ses appâts sous la nappe et entame de savantes contorsions. Bientôt la salle entière bruisse de la rumeur :
« Mme de Fraisconcul fait prendre le frais à con comme à cul et cela s’accompagne de coups d’œil grivois ou indignés. »
C’est parmi la gent des garçons que les remous atteignent une amplitude maximale et chacun, à son tour, va occuper la position qui expose le panorama le plus dégagé. Entre poire et fromage, Hortense interpelle celui qui s’occupe de leur table, un presque gamin, frais émoulu de son école hôtelière, timide, bavant de convoitise et écarlate de confusion.
— Quel est ton petit nom mon brave ?
— Georges pour vous servir, madame.
— Mon cher Georges, tu nous parais jeune et bel étalon, accepterais-tu de saillir une noble pouliche ?
— J’ose rappeler à madame que ceci ne relève point des attributions de mon service.
Prenant son grand air courroucé :
— Et en effet, ce n’est pas un service que nous te demandons, mais que nous te rendons et nous aimerions savoir qui oserait s’en offusquer ? Veuille nous rejoindre aux toilettes sans délai.
Le pauvre Georges se demande combien de personnes désigne ce « nous » et ne sait trop s’il faut se réjouir ou s’alarmer. Ce n’est qu’encouragé par les gestes discrets de ses collègues qu’il se décide. Entrant dans les toilettes dame, il enfreint un premier tabou. Il la trouve penchée en avant sur les lavabos, appliquée à empourprer ses lèvres tout en le surveillant ...
... dans le miroir :
— Alors soudard, tu le tombes, ce pantalon, soupire-t-elle en frétillant si fort du popotin que sa jupe remonte progressivement comme animée d’un mouvement pervers autonome.
Elle adore les sentir ainsi tout tremblant de désir et d’émotion, terrassé par l’inopiné de leur bonne fortune, à l’instant où elle va leur autoriser l’accès au Graal.
— Viens donc palper, il nous semble avoir un gros bouton là, juste entre les cuisses.
Georges approche timidement et vient tâter la croupe offerte. Rien à dire, c’est du beau cul et en dépit de l’excentricité de la situation, il se laisse progressivement emporter. Une main plonge dans le sillon ardent.
— Avoue que nous sommes la plus bandante des salopes !
Nouvelles hésitations, c’est effectivement son sentiment, mais de là à le clamer…
— Oui madame, vous êtes une superbe salope.
Il la prend maintenant en levrette, dégustant dans la glace le côté face de la belle qui entre deux soupirs éructe :
— Mets-y donc un peu de conviction, faquin !
De quoi parle-t-elle ? Il perd ses derniers repères et abandonne ses réserves :
— Tu aimes ça catin ! Tu veux de la bite cochonne, je vais t’enfiler… de partout !
— Oh ouiiiiiiii…
Elle l’interrompt en se reculant puis s’asseyant sur le plan des lavabos relève son bustier et l’attire à nouveau vers elle :
— Foutre que nous aimons que tu nous défonces la chatte.
D’une main elle caresse ses seins, de l’autre elle s’accroche au sèche-mains. Une ruade ...