1. Jeanne, la bourgeoise soumise


    Datte: 18/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Quintessence2017, Source: Hds

    ... prie de m'excuse, Maître, j'aurais dû prendre les devants."
    
    Elle dégrafe son soutien gorge et le retire, libérant ses énormes seins de leur prison de tissu.
    
    Vision irréelle. Sa poitrine gigantesque, très subtilement tombante, ferme, ronde, s'offre à moi, soulignée par la posture de soumission que Jeanne a adopté à nouveau dès que son soutien-gorge fût tombé.
    
    De ma main, je fais le tour de l'un de ses seins, j'en étudie la forme. Je le caresse, le palpe, le serre fermement. Puis, sans prévenir, je saisis le petit téton qui pointe au bout de ce mont, et le tourne brutalement, lui arrachant un soupir de jouissance. Elle apprécie la douleur.
    
    Je fouille dans la boite et m'empare de deux pinces, reliées par une petite chaînette.
    
    " - Alors c'est à toi ça ?
    
    - Oui Maître.
    
    - Tu joues souvent avec ? Tu aimes te les coller sur les tétons ?
    
    - J'adore ça, Maître. J'aime me torturer les tétons, m'infliger des sévices corporels.
    
    - Ça me plaît. Tu vas être gâtée."
    
    Puis, sans prolonger le suspens, je lui colle une pince sur chaque téton, laissant la chaîne pendouiller sous sa poitrine.
    
    " - On dirait que tu supportes plutôt bien la douleur.
    
    - J'aime la douleur, Maître. Elle me rappelle ma condition d'esclave.
    
    - Bien. Je vais t'attacher, tu es d'accord ?
    
    - Maître, mon avis ne compte pas. Il n'y a que votre volonté qui importe. Si vous le voulez, je suis d'accord."
    
    Elle a déjà été dressée. Et très bien dressée. Peut-être a t-elle déjà eu une relation ...
    ... suivie. Plusieurs ?
    
    Je ne suis pas très doué en encordage, mais j'ai quelques notions que j’ai lues dans un livre dédié au shibari, elles devraient suffire. Je prends la corde qui est dans la boite, et m'applique du mieux que je peux pour lui lier solidement les poignets dans le dos. J'en profite pour faire passer la corde autour de ses épaules, de ses seins, soulignant encore davantage sa divine poitrine.
    
    " - Maintenant tu es tout à fait captive, soumise à ma volonté.
    
    - Merci Maître. C’est un honneur pour moi."
    
    Je saisis le chat à neuf queues qui se trouve dans la boîte et m'approche d'elle, collant presque ma braguette à son visage. Je défais mon pantalon, laissant s'échapper ma verge gonflée à bloc par la vulnérabilité de Jeanne, par son corps sublimé par le jeu de cordes qui l'enserre.
    
    " - Tu sais ce qu'il te reste à faire je crois.
    
    - Bien sûr, Maître."
    
    Elle tend la tête pour essayer de prendre mon sexe en bouche. Mais ce dernier se dérobe sous sa tentative de le sucer. Je joue avec elle. Je recule quand elle avance sa tête.
    
    Elle essaye deux fois, puis marque une pause, tournant vers moi un léger sourire accompagné d'un petit regard excité, avant de se remettre au travail.
    
    " - Bon alors. J'attends, Jeanne. Ne me fais pas trop patienter."
    
    Elle redouble d'ardeur pour y arriver. La vision de cette bourgeoise attachée, à demi nue, essayant vainement de me gober le chibre est à la fois ridicule et parfaitement jouissive.
    
    Magnanime, je finis par ...