1. Jeanne, la bourgeoise soumise


    Datte: 18/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Quintessence2017, Source: Hds

    Assise à deux tables de moi, cela fait une demi-heure que cette femme me fait de l’œil. Au début j'ai cru à un hasard, mais une fois que mon regard croise celui de quelqu'un, je ne peux pas m'empêcher de vérifier toutes les deux secondes si la personne me regarde toujours. C'est son cas, elle m'a même gratifié d'un grand sourire tout à l'heure.
    
    Elle a la quarantaine, soit au moins dix-huit ans de plus que moi. J'aime les femmes mûres, et elle, elle me plaît. Beaucoup.
    
    Ses longs cheveux blonds très légèrement bouclés, tombant sur ses épaules comme pour indiquer le chemin vers sa poitrine lui donnent un air angélique. Et quelle poitrine, deux énormes mamelons comme j'en ai rarement vus, ses seins ont manifestement été gonflés par l'allaitement, elle doit être maman, on distingue même ses boutons qui pointent, étirant légèrement son chemisier. Elle est habillée très classe, madame est une bourgeoise. Une bourgeoise bien aguicheuse à ce que je vois.
    
    Voilà que madame se lève et vient à ma rencontre. On dirait qu'elle n'a pas de temps à perdre, pourtant il est tôt, il fait encore jour.
    
    " - Bonjour, Jeanne enchantée."
    
    Je me présente, lui fais la bise. Elle a une petite jupe taille haute bien moulante dans lequel rentre son chemisier et dont débordent deux longues jambes bien fermes qui me fileraient presque le vertige, perchées sur ses talons hauts. Elle est sacrément bien foutue.
    
    Sa façon de parler un peu maniérée, sa gestuelle, son vocabulaire, ses vêtements... ...
    ... Elle a tout de la petite bourgeoise bien coincée. Pourtant elle a l'air plutôt extravertie.
    
    On converse un peu, j'écoute à peine ce qu'elle dit, captivé par les mouvements de ses lèvres pulpeuses. Mes yeux font l'aller-retour, contemplant tantôt sa bouche, tantôt son décolleté outrageux, et tantôt ses magnifiques yeux bleu d'azur. Elle a bien remarqué mes regards insistants, à peine dissimulés. Elle croise les bras, soulevant sa poitrine, la mettant en valeur. Puis elle me propose d'aller boire un verre chez elle.
    
    Bingo !
    
    À peine arrivés chez elle, un gigantesque maison meublée avec beaucoup de goût en plein centre-ville qui, soit dit en passant, doit probablement coûter plus cher que ce je pourrai gagner dans ma vie entière, elle débouche une bouteille de Rothschild et m'en sert une flûte.
    
    " - Je suis pas trop branché champagne mais je vais me forcer pour toi.
    
    - Comme tu préfères, j'ai d'autres boissons si tu le souhaites."
    
    On discute un peu, mais elle ne tarde pas à me sauter à la bouche pour m'embrasser langoureusement. À croire qu'elle est pressée. Soit, ça me va aussi bien. Je lui malaxe les seins pendant qu'elle me roule goulûment des pelles, elle a un sacré coup de langue. Ses seins sont incroyablement fermes pour leur taille imposante, ça me fait un effet dingue, je commence à être bien à l'étroit dans mon futal.
    
    Soudain, elle détache sa bouche de la mienne, à mon plus grand regret, et murmure :
    
    " - Attache-moi."
    
    Qu'est-ce qu'elle me chante ...
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