1. Service Sucette de Cinq à Sept


    Datte: 18/12/2018, Catégories: fh, fhhh, hplusag, inconnu, Oral bukkake, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... prendre une semaine de congés pour faire un test grandeur nature.
    — C’est très bon pour toi. Et Claude, il en dit quoi ?
    — Bah, Claude, il suivra le mouvement !
    
    Marc est songeur :
    
    — Oui, c’est vrai… il suivra le mouvement… comme toujours…
    — En tout cas, lui aussi comme qui tu sais, il a pris des tas de photos ! Et tu sais quoi ?
    — Non, mais tu vas me le dire…
    — Monsieur s’est fait sucer, lui aussi !
    — Tu rigoles !?
    — Non, non, je t’assure ! Et devant tout le monde !
    — Eh bé !
    
    Je poursuis en abordant un autre sujet :
    
    — Antonio m’a confié que si Pauline n’était pas mal, c’est moi qu’il préférait, et de loin.
    — Te voilà rassurée, non ?
    — C’est flatteur, mais j’aurais bien délégué ma place, car si Antonio est très gentil, il est aussi pot de colle ! Sans parler du fait qu’il veut à chaque fois m’épouser ! D’après lui, ce serait une bonne affaire pour moi de divorcer de toi, de l’épouser afin d’hériter pour ensuite te réépouser. T’en penses quoi, mon chéri ?
    
    Les yeux sombres, mon mari gronde :
    
    — N’y pense même pas !
    — Pas même pour un bel héritage ? Oui, il a une jolie petite maison, mais aussi des tas de terrains à droite et à gauche. Il paraît qu’un quart des terrains cultivables de son village sont à lui et qu’il les loue. Sans parler des terrains à bâtir…
    
    À cette révélation, mon ...
    ... mari me regarde, étonné :
    
    — Et il fait quoi de tout cet argent ?
    — Il s’offre des beaux voyages, trois par an, quand même. D’ailleurs, il veut m’emmener voir le Brésil. Et il a plusieurs comptes en banque.
    — Il a peut-être plein de sous, ton Antonio, mais tu es ma femme à moi. J’accepte de prêter mais pas de donner !
    
    Je le taquine :
    
    — Ho ho ! Serais-tu possessif ?
    — Avoue que je suis modérément possessif ! Tu connais beaucoup de bonshommes qui accepteraient ton « métier » actuel ?
    — Oui, je te l’accorde, il n’y en a pas beaucoup, mais il y en a quand même…
    — Ferais-tu allusion aux proxénètes ?
    — Oh, pas qu’eux…
    
    Il n’empêche que je reconnais avoir caressé l’idée d’épouser Antonio, de l’épuiser de plaisir afin d’être rapidement sa veuve, puis ensuite de vivre le restant de mes jours sans aucun souci financier ! Oui, ça me semblait un bon plan. Mais entre rêver et faire, il y a une marge, une grosse marge, et malgré l’étrange métier que je fais actuellement, il me reste quand même un semblant de morale.
    
    Quoique la morale, ça ne remplit pas un frigo…
    
    Mais je sens qu’en travaillant au corps à corps mon petit mari comme il le faut, il va y avoir moyen de donner corps à ce genre d’idée. Qui sait ?
    
    D’ailleurs, je vais, de ce pas, commencer tout de suite mon travail de corps à corps avec lui ! 
«12...16171819»