Service Sucette de Cinq à Sept - Histoires de Sexe

Service Sucette de Cinq à Sept

... pas savoir pour Pauline ?

Il resserre plus encore son étreinte :

— Bien sûr que je veux savoir, mais tu passeras quand même à la casserole !
— Quel vocabulaire !
— Allez, raconte !

De bonne grâce, je m’exécute :

— Nous nous sommes rendus dans la salle de réunion où nous attendaient quelques sociétaires triés sur le volet. Il ne fallait pas se louper pour cette première fois.
— C’est logique, il fallait mettre toutes les chances de ton côté pour décrocher une nouvelle collègue de travail… Même si elle était déjà ton ancienne collègue de travail. De la suite dans la continuité…
— Pauline a une légère réticence quand elle a découvert qu’elle devait mettre la main à la pâte ou plutôt mettre ces zobs dans sa bouche. Je pense que, jusqu’au bout, jusqu’à la dernière minute, elle a pensé dans un coin de sa tête que c’était une grosse plaisanterie qu’on était en train de lui faire. Du coup, pour la mettre dans le bain, j’ai dû faire une petite démo. Tu aurais vu sa tête !
— Ça peut se comprendre… elle aime parler de sexe, surtout pour choquer, mais quand il s’agit de passer à l’acte concret…

M’asseyant à présent sur les genoux de mon homme, je précise :

— Elle aime le sexe, oui, mais à ses conditions. Je reviens à nos moutons : elle a demandé de choisir le premier bonhomme, et puis, gauchement, elle s’est exécutée. Mais rapidement, son naturel a repris le dessus, et elle a vidé son premier homme dans les règles de l’art.
— Elle a avalé ?
— Elle a eu un peu de ...

... mal quand même. Pourtant quand elle m’a posé la question s’il fallait avaler ou pas, je lui ai répondu que moi, je le faisais, mais qu’elle n’y était pas obligée.
— Ah, la rivalité féminine…

Nous échangeons un petit bisou. Je continue :

— Je me rappelle très bien que, juste après sa première pipe, elle m’a regardé, comme pour savoir si ça allait.
— Et tu lui as dit que ça allait, je suppose…
— Je lui ai fait comprendre que c’était bien, mais qu’elle devait se détendre un peu plus. Et puis, ce fut le tour du suivant. Et là, déjà, ça allait mieux.
— Jusqu’au dernier de la liste ?

Tandis que mon homme zieute copieusement dans mon décolleté, venant juste d’y déposer un petit baiser, je souris à ce souvenir :

— Oui, jusqu’au dernier de la liste, et même plus, puisque certains bonshommes y ont eu droit deux fois.
— Et elle n’a rien dit ?
— Ça l’amusait plutôt… comme moi, d’ailleurs. Bref, je crois que nous avons trouvé ma coéquipière…
— Tant mieux ! Il n’était pas évident de trouver une personne pour te seconder, car c’est quand même spécial, et il faut un esprit plus ludique que mercantile… Tant mieux pour toi, ma chérie. Alors, elle est d’accord ?
— Elle a dit qu’elle allait y réfléchir sérieusement, et elle a proposé de refaire un autre essai.
— C’est bon pour toi.

Toujours assise sur les genoux de mon homme, je sens quelque chose de dur qui grossit sous mes fesses. Je vois que tout ça excite mon homme, je souris :

— Elle a même ajouté qu’elle pourrait ...