1. Mon salaud de gendre me révèle à moi-même (2)


    Datte: 17/12/2018, Catégories: Hétéro Auteur: l'estello, Source: Xstory

    ... ce soir posséder le plus gros des porte-voix pour me dire que je rate sans doute quelque chose et que je le regretterais. Je lutte de toute mes forces pour ne plus l’entendre, mais rien n’y fait.
    
    L’eau s’arrête de couler, puis la porte s’ouvre, puis le silence. Soudain à pas feutrés, je vois Jordan reparaître au bas des escaliers, nu, entièrement nu, et le sexe à demi gonflé. Un tourbillon de chaleur part de mon crâne jusque dans mon bas-ventre, faisant tout frissonner sur son passage. L’émotion qui m’envahit est telle que je me contorsionne et m’agrippe au canapé sans même le vouloir. Il s’avance vers moi, plein d’assurance. Face à moi, il me dévisage.
    
    — Tu m’attendais, hein, salope ? Je ne peux rien répondre, j’avale ma salive avec difficulté. Ne pouvant soutenir son regard, mes yeux s’abaissent vers son membre.
    
    — Elle te fait envie ma queue ? Avoue qu’elle te fait envie.
    
    — Ou... Oui.
    
    — Tu vas être ma salope maintenant, tu sais ça ? J’acquiesce d’un mouvement de tête. Tes seins, c’est pour moi qu’ils pointent durs comme ça ? (je ne trouve rien à lui répondre, mais je me rends compte qu’en effet, ils sont très tendus et que mon fin débardeur ne les masque en rien). Allez maman, fais-moi voir tes gros nichons que je décide si je m’occupe de toi ou si je te laisse là, comme une petite vieille insomniaque !
    
    Comment ose-t-il me parler de la sorte ce sans gêne ! Je bous de colère et mon visage se crispe. Mais je m’exécute tout de même en espérant lui clouer ...
    ... le bac. Je soulève mon tricot que je roule en boule le plus haut possible sur mon torse. Mes seins sont frissonnants, mes aréoles crispées, mes pointes tendues vers l’avant, ils me font presque mal.
    
    — Mouais... Je ne suis pas encore sûr... Caresse-les maintenant !
    
    La colère et l’humiliation me donnent le courage nécessaire pour le regarder dans les yeux. Passant mes doigts sur mes mamelles, je cherche à deviner ce qu’il ressent. Dans mon champ de vision, je distingue sa queue qui soubresaute, elle se dresse puis redescend de quelques centimètres.
    
    Un tourbillon de chaleur envahit mon bas-ventre. J’affine mes caresses sur mes seins, titillant les pointes, les étirant, pressant mes grosses masses de chair. Son sexe se redresse ostensiblement et m’emmène à me mordiller les lèvres sans même m’en rendre compte. Il avance d’un pas vers moi et tire d’un coup sec le plaid qui s’envole de l’autre côté du salon. Un petit cri de stupeur s’échappe de moi et instinctivement, je croise mes jambes, en protection. Il s’avance encore un peu et avec autorité, sépare mes jambes croisées. Dans l’attente, un peu craintive, mais brûlante, je m’agrippe fermement au canapé et délaisse mes seins.
    
    — Relève-toi salope. Retire ton débardeur avant que je te l’arrache.
    
    Sans un mot, je lui obéis et me lève, retire mon tricot et me retrouve les seins nus et gonflés face à lui. Un demi-mètre nous sépare, que je n’ose pas combler bien que mon corps soit de plus en plus en demande de sensations. ...
«1234...»