1. Mon salaud de gendre me révèle à moi-même (2)


    Datte: 17/12/2018, Catégories: Hétéro Auteur: l'estello, Source: Xstory

    ... le passage et très vite, son sexe trouve le chemin de ma grotte qu’il connaît si bien.
    
    Il ne semble pas se rendre compte du peu d’humidité de mon vagin et très rapidement, il amplifie le rythme de ses à-coups à grand renfort de râles et de grognements dans mon dos.
    
    Pour ma part, j’enfouis mon visage dans l’oreiller, passive, comme très souvent, j’attends le moment où il déchargera sa semence en moi. Je n’ai pas longtemps à attendre pour sentir son liquide chaud tapisser mon intérieur, accompagné d’un long « Ahhhh » salvateur.
    
    Aussitôt vidé, il retourne de son côté du lit, me souhaitant une bonne nuit, accompagné d’un « je t’aime » devenu systématique dans ces moments... « Je t’aime aussi ». Je ferme les yeux, pleine de son sperme, mais bien obligée de faire le constat que les choses pourraient être autrement plus « épicés ». Et involontairement, mais inexorablement, je dois faire un autre constat, l’épisode de ce matin m’a bien plus excitée que ces vingt dernières années de sexe avec mon mari !
    
    Quelques minutes passent, mon chéri ronfle et moi, je cogite. Sentant son sperme dégouliner, je me lève et pars à la salle de bain. Je prends une douche bienfaitrice, ne pensant plus à rien. Machinalement, mon regard se pose vers le rasoir posé au bord de la douche. Je m’en saisis et commence à enlever d’épaisses touffes de mon minou savonneux. Je m’interroge alors sur le pourquoi de ce soudain intérêt porté à ma pilosité. Je n’ose admettre que c’est pour répondre aux ...
    ... ordres de Jordan, j’arrive même à me convaincre que c’est pour des raisons d’hygiène que je le fais et que mon mari y verra une sorte de cadeau fait à sa virilité.
    
    Enveloppée de ma serviette, je retourne dans ma chambre où mon mari dort à poings fermés et ne s’est rendu compte de rien. J’ouvre le tiroir de ma commode et me saisit d’une culotte en satin gris perle et d’un débardeur blanc que j’enfile sur mon opulente poitrine. Je descends les escaliers, me prépare une infusion et m’installe devant la télé, passant d’une série américaine à l’autre sans vraiment m’y intéresser.
    
    Soudain, la porte d’entrée s’ouvre. Je prends un plaid et recouvre mes jambes nues. Pas question d’aiguiser le désir de Jordan ! Il va devoir comprendre que je ne joue pas. Il s’approche de moi :
    
    — Je vous trouve là, comme prévu...
    
    — Ce n’est pas du tout ce que tu crois ! Je n’arrive pas à dormir, c’est tout. Tu peux aller te coucher, on reparlera de tout ça demain !
    
    Je m’étonne moi-même de mon assurance et de ma détermination. Sans un mot, il monte à l’étage et j’entends la porte de la salle de bain. Gros ouf de soulagement, j’ai gagné, il a compris qu’il ne m’aurait pas deux fois.
    
    J’entends à présent l’eau couler dans la douche et bien qu’il me semble avoir un peu redoré mon blason, je ne peux m’empêcher de voir mon esprit traversé par des images de lui nu, le corps mouillé et plein de savon.
    
    Cette fameuse petite voix que nous avons en nous et qui est d’ordinaire très discrète me semble ...
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