1. Un mari bien imprudent...ou le chemin de la perversion... (3)


    Datte: 17/12/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... commissariat.
    
    Là, toujours les menottes aux poignets, on la fit attendre dans un petit box , surveillée de loin par un agent.
    
    Elle demanda si elle pouvait téléphoner, l’agent lui répondit oui et lui donna son sac.
    
    Malhabilement, alors que l’homme tenait son sac ouvert devant elle, elle farfouilla pour trouver son portable.
    
    Au bord des larmes, elle s’aperçut qu’elle l’avait laissé sur la table de la cuisine…elle ne pouvait pas appeler son mari.
    
    Elle allait demander qu’on lui prête un téléphone quand un autre agent rentra dans le box et la conduisit dans le bureau du major.
    
    Là, sidérée, Fanfan regarda la personne assise derrière le bureau et elle reconnut sa voisine Muriel.
    
    Soulagée de voir un visage connu, elle allait se répandre en supplications et arguments pour prouver son innocence, elle se disait qu’elle aurait pu tomber plus mal.
    
    Muriel allait jurer de sa bonne foi, et tout cet incident tragicomique allait prendre fin.
    
    Le problème c’est que quand elle croisa le regard de Muriel, elle y lut une expression dénuée de toute aménité et de toute gentillesse.
    
    La policière, pourtant sa voisine, la regardait comme un dogue qui va mordre sa proie.
    
    Ses paroles lui restèrent dans la gorge …
    
    Toujours la regardant avec mépris, Muriel prit la parole :
    
    « Tiens donc Françoise, ma chère voisine Françoise, femme distinguée, bonne mère de famille, petite bourgeoise sans surprises, ni incidents.
    
    Et qu’est-ce qu’on découvre ?
    
    Elle se livre au ...
    ... trafic de drogue, et approvisionne ses collègues sur son lieu de travail…un hôpital ?
    
    Décidément on ne peut plus se fier à personne de nos jours !
    
    — Mais Muriel je te jure que …
    
    — Silence ici c’est moi qui fais les questions et parfois aussi les réponses, alors tu te tais et tu m’écoutes…
    
    Mais j’en oublie les bonnes manières…
    
    Stan, Alex, vous me la fouillez !
    
    — Habillée ou à poil ? demanda Stan, celui qui l’avait amenée dans le bureau.
    
    — D’abord habillée, après on verra… »
    
    Toujours entravée, Fanfan fut mise debout et les deux hommes commencèrent à la palper sous toutes les coutures, alarmée Fanfan s’écria :
    
    « Arrêtez, vous n’avez pas le droit, c’est une femme policier qui seule, peut le faire, enlevez vos sales pattes !
    
    — Oui et bien où est le problème, je suis une femme policier et leur supérieur hiérarchique en plus, donc le règlement est observé, on dira que je fais un transfert de compétences à mes collègues… »
    
    Désarmée par cette mauvaise foi évidente, Fanfan se laissa faire.
    
    Elle se disait que si elle coopérait alors, que peut être les choses se passeraient en douceur. Après tout cela n’allait pas être si terrible que ça.
    
    Et elle ne pouvait pas s’empêcher de se l’admettre, la situation commençait à l’exciter
    
    La fouille fut odieuse et vicieuse.
    
    Stan commença par palper Fanfan le long de ses hanches puis s’intéressa à ses seins qu’il pétrit avec conviction.
    
    Fanfan remarqua que les pointes de ses seins se dressaient, et elle ...