1. Un mari bien imprudent...ou le chemin de la perversion... (3)


    Datte: 17/12/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... Fanfan.
    
    Étonnée par le bruit Fanfan regarda à sa gauche, le jeune homme, relevant sa visière s’excusa poliment d’avoir légèrement heurté sa portière avec son pneu.
    
    Le choc avait été négligeable et le coup insignifiant.
    
    Devant l’air honnête du jeune homme qui se confondait en excuses, Fanfan laissa tomber, lui dit que ce n’était pas grave et reprit sa direction alors que le feu passait au vert, la circulation était assez dense et elle ne pouvait bloquer tout le monde pour des queues de cerise…
    
    Ce qu’elle n’avait pu voir, c’est que pendant qu’elle avait son attention attirée sur sa gauche, le second scooter s’était rapproché de son véhicule par la droite et que le passager de celui-ci avait laissé tomber discrètement un paquet par la vitre ouverte.
    
    Ce dernier était venu se loger dans le vide-poche, indétectable aux yeux de Fanfan.
    
    Au rondpoint suivant, un contrôle de police était organisé avec des policiers, fusil à pompe et pistolets mitrailleur Beretta au poing.
    
    L’agent lui fit signe de s’arrêter sur le bas-côté :
    
    « Contrôle du véhicule, inhérent à la lutte contre les stupéfiants madame, voulez-vous couper le contact et sortir du véhicule s’il vous plait. »
    
    Fanfan obtempéra, un peu énervée de ce contrôle stupide qui allait la mettre en retard à l’hôpital.
    
    L’agent lui demanda ses papiers d’identité et du véhicule et les contrôla dans le van attenant.
    
    Pendant ce temps un maitre-chien faisait faire le tour du véhicule, portières ouvertes ...
    ... à son berger malinois, spécialisé dans la recherche de drogue.
    
    Arrivé au niveau de la place passager, l’animal commença à gémir et à s’exciter, désignant avec son museau le paquet déposé par le mystérieux passager du scooter.
    
    « Ah, madame, je crois que le chien a détecté quelque chose, veuillez me suivre. »
    
    Abandonnant son contrôle d’identité sur l’ordi du van, le policier suivi de Fanfan s’approcha de son collègue maitre-chien.
    
    Il appela son supérieur, officier de police judiciaire, qui ayant revêtu des gants, se saisit du paquet et l’ouvrit sous les yeux ébahis de Fanfan.
    
    « Cocaïne, au bas mot entre 300 et 500 grammes, valeur approximative, presque 8000 euros …on ne peut appeler ça de la consommation personnelle…
    
    Quelle est la profession de cette dame ?
    
    — Elle est cadre infirmier à l’hôpital « Albert I° » répondit l’agent
    
    — Hé bien madame, je crois que vous vous êtes laissée mettre dans de sales draps.
    
    Vous n’avez pas honte ? Trop de pression à l’hôpital, vous en prenez pour tenir le coup et vous approvisionnez vos collègues… Mon Dieu quelle honte, une infirmière !
    
    — (Sidérée Fanfan bafouilla) Mais je n’ai rien fait, je ne sais pas d’où provient ce paquet…c’est un coup monté, je suis innocente !
    
    — Stan tu lui mets les menottes, et on vous amène au poste, moi mon rôle s’arrête là, vous vous expliquerez avec le major … »
    
    Les larmes aux yeux, se noyant dans ses explications, Fanfan fut amenée dans la voiture de police et conduite au ...