1. Une soirée ordinaire


    Datte: 16/12/2018, Catégories: fh, couple, amour, volupté, intermast, Oral pénétratio, Auteur: Revede, Source: Revebebe

    ... Elle me rend mon baiser et se love contre moi. Mes mains se font baladeuses, tour à tour, elles descendent pour caresser ses jambes puis remonte le long des bas en tirant la robe vers le haut, passent sur la peau nue jusqu’à ses fesses, effleurent le string de dentelle puis s’échappent vers son dos et ses épaules, nues elles aussi. Je la sens qui frissonne, l’excitation la gagne elle aussi, elle me caresse le dos et les fesses.
    
    — Je t’aime.
    — Moi aussi, je t’aime comme un fou. J’ai très envie de toi.
    — Ah bon…
    
    Elle se rapproche encore de moi, son ventre se colle contre mon sexe, elle me sourit, puis s’écarte un peu et sa main se glisse entre nos corps, et me recouvre doucement.
    
    — Moi aussi j’ai envie de toi, j’ai envie de faire des folies avec ton corps.
    
    Elle m’embrasse de nouveau, je la sens très amoureuse, je suis aux anges.
    
    — D’abord on mange, j’ai faim et j’ai soif.
    — Tu es sûre, je n’ai plus très faim.
    — Moi si, et puis j’ai envie de te faire attendre un peu. Le supplice de Tantale, tu connais ?
    
    Bon d’accord, bon gré mal gré, je vais attendre.
    
    L’apéritif, le foie gras, le vin blanc et les nouilles, si j’avais su j’aurais quand même essayé de faire un plat plus raffiné, je suis trop bête.
    
    Quand elle parle de supplice, elle sait de quoi elle parle. Que de mouvements très sensuels, de gestes aguichants, de paroles prometteuses. Impossible de faire redescendre la tension. Dès qu’elle se penche un peu vers moi pour me parler, j’ai des sueurs ...
    ... froides. Dès qu’elle se lève pour aller chercher le sel, ou changer la musique, je ne peux pas détacher mon regard de sa démarche lente et sensuelle, ma femme est un hymne à l’amour à elle toute seule. Quand c’est moi qui me lève, et que je reviens, je vois ses jambes pliées sous la table, la robe est remontée juste assez pour que j’aperçoive la lisière de ses bas et l’attache des jarretelles. Ces artifices féminins la me rendent complètement fou, et elle le sait.
    
    — Tu ne veux plus de mes pates au thon que j’ai préparé avec amour ?
    — Non merci, je n’ai plus faim.
    — Tu veux une glace en dessert ? Il y en a au congélateur. Fraise ou chocolat, je crois.
    — Non merci, je voudrais juste un autre dessert.
    
    Elle se lève, encore son sourire malicieux, chargé d’érotisme, de désir. Et elle vient s’asseoir sur mes genoux, légèrement de profil, me prenant par le cou. Elle m’embrasse. Je l’embrasse. Je lui caresse les jambes, les genoux, mon autre main remonte vers son cou en passant par la courbe harmonieuse de sa poitrine.
    
    — Qu’est-ce que j’ai fais pour mériter ça ?
    — Rien, j’ai envie de toi et c’est tout. …Viens.
    
    Elle se lève, me prend par la main, et m’entraine vers la chambre à coucher. Tant pis, on débarrassera demain.
    
    En arrivant, elle se tourne, de dos défait l’attache de sa robe au milieu du dos, elle se tourne de nouveau et se débarrasse de sa robe en me regardant. Bon sang ce regard, je ne m’y ferais jamais, tension maximale, je suis mal, j’ai chaud. J’enlève ma ...
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