Une soirée ordinaire - Histoires de Sexe

Une soirée ordinaire

... passionnant. Et toi ? Ca va ?

En me disant ça elle enlève sa veste, la pose sur le porte-manteau et rentre dans la salle à manger :

— Oh, mais tu nous as préparé un diner aux chandelles, musique, foie gras, vin blanc…
— La suite est beaucoup plus … ordinaire, tu me connais, ne sois pas trop exigeante, je ne suis pas Bocuse.

Et là, elle se met à rire, je ne sais pas pourquoi, c’est toujours un plaisir de la voir rire, j’aurais au moins réussi ça ce soir. Et quand elle rit, je ne peux m’empêcher de la prendre dans mes bras et de la serrer très fort en l’embrassant dans le cou.

— Alors je crois deviner ce que c’est…, mais c’est très bien mon amour, je n’en demandais pas plus. J’ai très faim. Tu nous sers un apéritif pendant que je vais me changer ?

Encore un câlin et là c’est elle qui m’embrasse dans le cou.

— Pas de problèmes, je fais réchauffer le plat de résistance et je t’attends au salon.
— Hummm, tu sens bon. Attends un peu avant de réchauffer, j’en ai pour cinq minutes, je vais prendre une douche aussi.

Et elle s’en va. OK alors j’attends. Le cafard de la fin d’après midi a l’air de s’être fait marcher dessus, tant mieux, il ne me manquera pas. Par contre, j’ai des idées qui se bousculent dans ma tête, j’ai envie de Julie.

Cinq minutes plus tard, j’entends qu’elle m’appelle :

— Tu peux me passer une serviette propre s’il te plait ?
— Bien sur, Tiens en voilà une.

Elle sort de la douche, je la regarde, elle est belle, ses jambes sont ...

... magnifiques, longues et fines mais pas trop, juste de quoi porter avec élégance une très belle paire de fesses, un ventre quasiment plat, une poitrine qui me fait toujours autant d’effet. Et bien sûr quand je la regarde comme ça, je me fais remettre en place, un sourire espiègle et un faux ton de reproche :

— Espèce de voyeur, n’en profite pas.
— Habille-toi vite, avant que je ne réponde plus de rien. Je voudrais pas me retrouver en prison pour viol.

Encore un de ses regards à la noix, avec celui là je ne sais jamais à quoi m’attendre, elle me pousse vers la sortie :

— Ok, je vais m’habiller, mais toi tu sors de la salle de bain.
— D’accord, d’accord.

Encore cinq minutes plus tard, l’apéritif est servi, Julie rentre dans le salon et me regarde en souriant :

— Et là, tu n’as plus peur d’aller en prison ?
— …

Ouf, si je m’attendais a ça. Elle s’est rhabillée effectivement, elle a mis sa robe bleue, celle qui lui va si bien. Je suis verni ce soir, elle m’a sorti le grand jeu, son décolleté me semble vertigineux, ses jambes haut perchées sur des talons sont gainées par des bas attachés à un porte-jarretelles, ce qu’elle me montre dans un mouvement interdit au moins de 16 ans.

— Alors ? Je te plais comme ça.
— Tu rigoles, je crois qu’on va oublier le repas ce soir. Tu es vraiment trop belle et trop craquante.

Je m’approche, la prend par les bras. Je la regarde en la faisant tourner sur elle-même, puis je me serre contre elle et l’embrasse, je suis content. ...