1. Un week-end torride. Samedi


    Datte: 15/12/2018, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, parking, amour, volupté, Masturbation Oral jeu, yeuxbandés, ecriv_c, Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe

    ... elle se relève, me faisant face, assise, sur l’avant de ma voiture. Ses bras m’attirent, sa bouche chaude et haletante cherchant le baiser, tandis que d’une main elle me saisit le sexe, reprenant à pleine paume un malaxage savant, comme pour en extraire complètement tout ce qui pourrait rester de jus…
    
    — Oh ! souffle-t-elle, qu’est-ce que tu m’as mis ! Je dégouline ! C’était bon, hein ? J’en pouvais plus… tu m’as excitée comme jamais !
    — Laure… murmuré-je, tu me fais faire des choses ! Et si quelqu’un était arrivé !
    — Justement ! J’avais très peur… ça m’a excité davantage !
    
    o-o
    
    Nous montons chez moi et, dans l’ascenseur, elle se montre à nouveau conquérante.
    
    — Encore ! gémit-elle en se frottant, on recommence ? Oh ! là, j’en ai plein les cuisses, j’aime, j’aime ça… c’est chaud, c’est toi… Mon string, détruit !
    
    Dès rentrés, nous nous retrouvons au lit le temps de le dire, dans un désordre indescriptible de nos vêtements mêlés.
    
    Elle cherche ma main, la pose à plat sur son bas-ventre.
    
    — Tu sens ? À l’intérieur, ces crispations… J’ai encore envie ! C’est pas vrai !
    
    C’est vrai, elle frissonne, s’agite, les nerfs à vif, la respiration courte.
    
    — Ta main, caresse-moi… chuchote-t-elle
    
    Mes doigts après, avoir joué avec ses quelques poils, s’immiscent dans ses moiteurs. Laure se cambre, me retenant d’une main, sa bouche dans mon cou.
    
    — Oui… continue, rentre tes doigts, fouille-moi !
    
    Sa respiration se fait rapide, elle geint, se retenant de ...
    ... crier.
    
    — Ah ! Je vais encore jouir… ah !
    
    Pliée en deux, me repoussant, sa main remplace la mienne et, s’étant mise sur le ventre, la tête dans l’oreiller, elle a un orgasme violent, les fesses en l’air ! J’ai presque peur de la voir ainsi, n’en finissant pas de jouir, en étouffant ses cris.
    
    — Ça va ? m’inquiété-je, voyant encore son corps parcouru de spasmes.
    
    Souplement elle se met sur le côté, m’attire contre elle, minaude.
    
    — Oui… pardon ! Oh ! là, c’était fort ! Je m’en souviendrai du parking, j’ai pas dû avoir mon compte tout à l’heure. Terrible ! Ça venait de loin, par vagues !
    — Eh ben ! Préviens, la prochaine fois ! dis-je, maintenant rassuré.
    — Mais c’est toi ! Avec tes mots, tes regards, tes caresses !, s’exclame-t-elle doucement, tu te rends pas compte !
    
    o-o
    
    Maintenant elle ronronne, la tête sur ma poitrine, en ayant de temps en temps encore des petits sursauts, des soupirs.
    
    — Jean-Pierre, je suis heureuse ! chuchote-t-elle, j’ai peur, j’ai tellement peur… de repartir tout à l’heure, de te laisser !
    
    À nouveau, je pense qu’elle est fragile sous ses airs affranchis. Je me sens responsable de son bonheur, de sa vie… de l’avenir. Pour toute réponse je la serre très fort, comme pour lui communiquer ma confiance…
    
    Longtemps je lui ai murmuré mille choses pendant qu’elle se maintenait roulée en boule contre moi, comme un bébé, m’écoutant, se contentant de me chatouiller de ses cheveux en acquiesçant de la tête.
    
    Enfin elle ne bougea plus, endormie, ...