1. Un week-end torride. Samedi


    Datte: 15/12/2018, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, parking, amour, volupté, Masturbation Oral jeu, yeuxbandés, ecriv_c, Auteur: Laure et JP, Source: Revebebe

    ... en découdre avec la présomptueuse qui a osé…
    
    — Mais non ! Quelqu’un que tu connais bien, très bien…
    
    Interloquée elle réfléchit, puis explose :
    
    — Laure ! s’écrie-t-elle, Laure ! C’est vrai ?
    
    Elle se précipite et ouvre doucement la porte de la chambre. Un coup d’œil lui confirme l’événement. Clara est ravie, complètement excitée.
    
    — Laure ! Laure ! Attends, je vais la rejoindre ! Pour une surprise !
    
    Et sans plus attendre, je la vois se déshabiller rapidement, jetant ses vêtements à travers le salon.
    
    — Clara ! m’écrié-je, mais ça va pas, non !
    
    Maintenant en slip et soutien-gorge – décidément sacrément bien fichue ! – elle rentre dans la chambre et très doucement, se glisse dans les draps.
    
    Je reste sur le pas de la porte à observer, hilare. On va rire…
    
    Laure a senti un mouvement, une odeur… Elle bouge, se tourne, me cherche d’une main, touche le bras de Clara et s’immobilise. Sa main cherche à nouveau, palpe, rencontre le soutif de son amie.
    
    Comme si c’était brûlant, elle sursaute et se dresse brusquement sur un coude.
    
    Un cri perçant : Laure réalise que ce n’est pas moi…
    
    Puis un autre cri, suivi d’un « Ah ! Clara ! »
    
    Laure s’assoit, poitrine à l’air, et l’attrape par un bras.
    
    — Clara ! Mais qu’est-ce que tu fous là ! Alors ça ! Mais tu es à poil ! Et Jean-Pierre, où est-il ? Ah ! les vaches !
    
    Nous éclatons de rire Clara et moi. Laure, abasourdie, m’aperçoit debout au pied du lit. Du coup, elle a le réflexe de se couvrir. D’abord ...
    ... furieuse une seconde, elle comprend et éclate de rire.
    
    — Clara était venue me faire la surprise des croissants… précisé-je de manière à rendre la situation plus claire.
    
    Laure se laisse tomber en arrière, puis se relève et joue à agresser son amie à coup d’oreillers, cherche à la pincer, à la virer du lit.
    
    — Salope ! lui lance-t-elle, j’ai eu une de ces peurs ! Et toi, ici, couchée ! Attends ! Toute nue toi aussi, enlève ces trucs, fais voir comme tu es moche, fais voir tes gros nichons flasques !
    
    Clara n’est pas en reste :
    
    — Pinbèche, mal baisée, lesbienne, essaie donc, je broie ta moule pas fraîche !
    
    Je décide de les laisser… Elles ont tellement de choses à se dire !
    
    o-o
    
    Le chahut dure un bon moment, ponctué de pauses pendant lesquelles je perçois leurs jacasseries… La faculté des filles à pouvoir parler entre elles pendant des heures !
    
    Je vaque, comme on dit, à diverses occupations, attendant qu’elles aient achevé leurs retrouvailles, et qu’enfin elles se lèvent…
    
    Soudain je remarque le silence. Aucun son ne me parvient plus de la chambre. Se seraient-elles endormies ? Curieux, plus qu’inquiet, je tends l’oreille derrière la porte. Je perçois des froissements de draps, des gémissements discrets. Mon cœur fait un bond dans ma poitrine.
    
    Non ! Seraient-elles en train de se faire un câlin ? Sacrifieraient-elles à leur double nature, pour chacune depuis longtemps mise en veilleuse ? En fait, rien d’étonnant ! Mais quand même !
    
    Et moi comme un con ...
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