1. Un piège


    Datte: 11/12/2018, Catégories: fhh, couleurs, inconnu, laid(e)s, douche, fsoumise, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Partouze / Groupe fsoumisah, Auteur: Blueyes13, Source: Revebebe

    ... index entre les nymphes. Le vagin avale le doigt et l’homme commence à aller et venir dans les parois de plus en plus détrempées. Il est déjà temps d’enfiler un deuxième doigt. Amélie se cambre en se pâmant. Les caresses de son amant sont trop délicieuses.
    
    Marc a maintenant fait glisser sa hampe entre la fourche de la jeune femme et elle se retrouve à califourchon sur la barre de chair. Il extirpe son doigt dégoulinant de cyprine et appuyant sur les reins d’Amélie, il ordonne :
    
    — Penche-toi, ma salope.
    
    Elle accepte l’insulte. Ce n’est plus une insulte, mais l’expression du désir de son homme. Elle obéit en posant ses mains à plat contre le mur de la douche, elle offre sa vulve à son mâle. Il agrippe la taille de guêpe et frotte, avec d’amples et lents mouvements copulatoires, son engin contre le vagin imbibé de mouille. Il la sent s’ouvrir. Il lui donne une petite tape sur la croupe pour qu’elle se cambre mieux. Amélie creuse ses reins, son postérieur apparaît encore plus rebondi et épanoui. Il pose ses mains larges sur chaque globe de chair et masse la peau si douce, tiède et élastique, il rapproche progressivement les pouces de chaque côté de la rainure des fesses et tour à tour écarte, étire, puis comprime délicatement le sillon et il accentue ses va-et-vient, veillant bien à ce que son gland vienne à chaque fois pousser contre le capuchon du clitoris. Amélie émet des gémissements de plus en plus aigus, caractéristiques de la pâmoison féminine. Elle va atteindre ...
    ... le point de non-retour. Elle a tellement envie maintenant de sentir le membre pénétrer en elle. Son amant en est conscient puisqu’il lui ordonne :
    
    — Écarte encore un peu plus les cuisses, ma salope.
    
    Elle obtempère en frémissant d’impatience. Mais son instinct de femme lui dicte de ne pas totalement s’abandonner. Un bruit dans la salle de bain ? Elle ouvre les yeux. Stupéfaction ! Raphaël est là, devant eux, aussi nu qu’eux. Il regarde le couple, tenant son engin bandé dans la main. Elle pousse un cri ! Veut se dégager de l’étreinte de son amant. Elle se redresse en serrant les jambes. Mais la queue de son amant reste emprisonnée entre ses cuisses serrées. Marc, tranquillement, réaffirme sa prise, la plaque sans violence mais encore plus fermement contre lui. Elle sent la hampe écrasée contre les lèvres de son vagin. Marc ainsi enserré peut à peine remuer sa bite. À peine, imperceptiblement. C’est une torture pour Amélie :
    
    — Marccc, arrêteee.
    
    Elle voudrait que sa voix soit autoritaire et non aussi suppliante. Mais les mains amples et puissantes de son amant tiennent ses hanches et lui impulsent un insoutenable mouvement de va-et-vient. La voix de Marc à ses oreilles est si douce si pénétrante.
    
    — Chuttt, ma chérie ! Chuttt ! Laisse-toi faire. Fais-moi confiance.
    
    Elle doit se dérober ! Elle ne peut admettre d’être exposée ainsi devant ce sale type. Elle essaie de se cabrer encore.
    
    — Marc… nonnnnnnnnn… lâche-moiiiiiiiiiiiiiiiii !
    
    Elle doit mordre ses lèvres ...
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