Un piège
Datte: 11/12/2018,
Catégories:
fhh,
couleurs,
inconnu,
laid(e)s,
douche,
fsoumise,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsoumisah,
Auteur: Blueyes13, Source: Revebebe
... elle, Amélie renifla une odeur aigre tout en remarquant que la chevelure crépue était grasse et couverte de petites écailles blanches de pellicules.
Elle prit le verre en évitant tout contact avec ce dégoûtant personnage. Mais comment rester concentrée alors que Marc n’arrêtait pas ou de bouger sournoisement sous elle ou d’impulser aux hanches de la jeune femme de légers mouvements de rotation ? De toute évidence, l’engin du mâle grossissait contre son postérieur. Elle avait alors voulu se lever, mais à peine avait-elle soulevé son arrière-train de quelques millimètres que Marc l’avait replaquée avec assurance :
— Où tu vas ma puce, tu n’es pas bien ici ?
Et il en avait même profité pour appuyer encore plus franchement son braquemard contre le cul rebondi de la jeune femme. Amélie ne comprenait pas. Puisqu’il était dur et avait envie d’elle, pourquoi ne congédiait-il pas l’intrus pour ensuite s’occuper d’elle ? Elle était perturbée. Elle aussi, elle en avait envie. Elle était venue pour ça. Pourquoi les choses ne se déroulaient-elles pas comme convenu ? Elle devait trouver les mots pour éclaircir la situation. Demander des explications. Mais son esprit était confus. Et puis, elle transpirait. Elle était moite. Elle eut le malheur de faire remarquer qu’il faisait chaud dans la pièce, alors Marc la ceintura entre ses bras encore plus intimement et en ricanant lâcha :
— C’est toi qui est toute chaude ma puce.
Ces propos étaient d’autant plus inadmissibles qu’il ...
... avait posé sa main ample et large sur la cuisse nue d’Amélie. Furieuse, elle s’était cabrée, cuisses serrées. Mais Marc n’enlevait pas sa main et l’autre type bavait de plus en plus sur la chair pleine, fraîche et terriblement appétissante que la jupe trop courte offrait à la concupiscence. Marc avait rajouté d’une voix mielleuse :
— Faut dire que c’est l’époque des grosses chaleurs…
Elle était abasourdie de tant de vulgarité. Surtout qu’il avait renchérit :
— Et des très grosses envies. Un mec ne devrait pas suffire pour calmer un aussi gros besoin. Mais je suis sûr que tu ne demandes pas mieux, Raphaël, de me donner un coup de main.
— Pas qu’un coup de main ! s’était esclaffé l’autre grossièrement. Mais un sacré bon coup, ça oui !
Outrée, Amélie s’était arrachée violemment de l’étreinte de Marc et levée d’un bon. Marc avec un regard rieur insupportable lui avait pris doucement la main :
— Allez Amélie, on rigole !
— C’est pas drôle du tout, avait rétorqué la jeune femme furibonde.
Mais alors pourquoi n’était-elle pas partie en claquant la porte ? Parce que Marc caressait tendrement sa main en la regardant avec ses magnifiques yeux ?
— Allez, ma puce, tu ne vas pas tout gâcher ?
Bien sûr qu’elle ne voulait pas le perdre. Il était si beau. Mais elle ne pouvait pas se laisser traiter ainsi. Alors, elle avait froidement tourné les talons et fièrement était venue s’enfermer dans la salle de bain. Elle allait montrer qu’elle avait de la volonté et du ...