1. Un piège


    Datte: 11/12/2018, Catégories: fhh, couleurs, inconnu, laid(e)s, douche, fsoumise, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, Partouze / Groupe fsoumisah, Auteur: Blueyes13, Source: Revebebe

    ... caractère, qu’elle n’avait rien à voir avec les filles faciles qu’il devait mettre dans son lit !
    
    Mais une fois seule dans la salle de bain, Amélie s’était sentie comme prise au piège. Elle s’était assise sur le rebord de la baignoire. Les secondes s’écoulaient. Le doute grandissait dans son esprit. N’était-elle pas stupide de se comporter ainsi ? De toute évidence, ce n’était que des plaisanteries d’hommes populaires. Elle n’avait pas l’habitude de fréquenter les classes sociales inférieures. Ils étaient vulgaires certes, mais au fond ce n’était pas de leur faute. Ils n’avaient pas eu la chance de recevoir une bonne éducation. Qu’attendait Marc pour venir s’excuser ? Et si son amant la laissait poireauter pendant des heures ? Peut-être s’était-il même complètement désintéressé d’elle ? N’entendait-elle pas des rires étouffés dans la pièce où étaient restés les deux hommes ?
    
    Marc, lui, s’amusait de la situation. Il connaissait ce genre de petite poule. Il savait qu’elle était à sa merci. Il s’était donné dix minutes pour bien la faire mariner dans son jus. Il en avait profité pour, à voix basse, assurer à Raphaël qu’il pouvait déjà préparer les 100 euros. L’autre doutait. Mais Marc lui avait dit :
    
    — Fais-moi confiance, dans dix minutes tu fourres ta bite dans la chatte de cette jolie salope. Je vais aller la voir, la baratiner et quand elle sera prête, je te ferai un signe. Je dirai disons… disons : « écarte encore un peu les cuisses, ma salope ». Ce sera le code ...
    ... pour toi. Tu pourras alors venir nous rejoindre pour tirer ton coup. Dès que tu entends exactement cette phrase, tu débarques. Compris ?
    
    Raphaël n’était vraiment pas Einstein, mais ce genre de consigne, il comprenait parfaitement.
    
    — Au fait, tu as un appareil photo ? ajouta Marc.
    — Ben, sur mon portable…
    — Tu l’amèneras.
    
    Marc s’était alors tranquillement levé et avait tapé à la porte de la salle de bain. Il l’avait facilement amadouée.
    
    — Amélie, ouvre-moi. Il faut ne pas prendre au premier degré des blagues de mecs. Tu sais à quel point tu comptes pour moi. Allez Amélie, je m’excuse. S’il te plait, ouvre !
    
    Elle n’avait pas mis plus de deux minutes à céder. Elle avait alors essayé d’être claire : elle ne supportait pas ce genre d’attitude. Il l’avait attirée dans ses bras tendrement et en la cajolant :
    
    — Tu es si belle, ma chérie. Si désirable.
    
    Il était tellement tendre. Comment ne pas fondre ? Marc continuait :
    
    — Tu ne peux pas m’empêcher d’être fier que tu sois aussi désirable. Tu pourrais te faire baiser par tous les mecs que tu veux et c’est moi que tu as choisi.
    
    Elle n’aimait pas quand il s’exprimait ainsi. Elle le lui dit sèchement :
    
    — Arrête, Marc !
    
    Il devait comprendre qu’avec elle ça ne fonctionnerait pas du tout comme ça ! Mais il avait poursuivi, de manière encore plus explicite :
    
    — Tous les mecs ne rêvent que d’une chose : c’est de te baiser. Et je veux que tu en prennes pleinement conscience.
    
    Elle avait beau afficher, avec ses ...
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