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Marie et le sculpteur aveugle (12)
Datte: 10/12/2018, Catégories: Erotique, Auteur: catchme, Source: Xstory
... et écartelée dans une posture complètement offerte. Certains hommes chauffés à blanc, le regard vitreux comme dans un état second, la queue bandée comme des ânes avec d’épais filets de mouille visqueuse coulant jusqu’au sol, hésitent et ne savent pas s’ils peuvent aller plus loin et continuent de me peloter négligemment… Je ne peux pas me relever tant je suis vidée et incapable de trouver prise sur le cuir glissant recouvert d’huile et de vaseline quand ce ne sont pas d’autres fluides suspects… A ce stade, je pense en avoir fini avec ce show délirant et suis certaine que Manuel doit être drôlement content de notre prestation. Je profite de ces quelques instants de flottement et de récupération pour laisser mon esprit vagabonder alors que des mains se baladent sur mon corps et massent mes seins. ********************************************************************** A L’HÔTEL Dans la chambre d’hôtel, Marie ouvre les yeux et m’aperçoit en face d’elle. Elle transpire. « Vous allez bien ? » « J’ai trop chaud ; je dois faire une pause et me désaltérer ; finalement, est-ce qu’on peut ouvrir la fenêtre ? » demande-t-elle en partant vers la salle de bain. Je m’exécute mais le bruit de la circulation est tel qu’on doit y renoncer. « Désolé mais le bruit de la rue va parasiter mon enregistrement » Son histoire m’a chauffé l’esprit et j’avoue arborer une érection indécente et douloureuse que j’essaye d’accommoder comme je peux dans mon ...
... pantalon. Puis elle revient. Elle a remonté les manches de son corsage et s’est passée de l’eau sur le visage. Elle est plus belle que jamais et je ne peux détacher mon regard de son chemisier légèrement transparent partiellement déboutonné qui laisse apparaitre son élégant soutien-gorge en dentelle. Elle boit à grandes gorgées puis se rajuste dans le fauteuil en face de moi qui suis toujours assis sur le lit. Sa lourde poitrine pousse sur les fragiles boutons du corsage tendu à l’extrême. Elle le dégrafe d’un bouton supplémentaire pour mieux respirer et s’essuie le front. Le soutien-gorge se révèle encore plus entre les deux pans du corsage entrouvert. Je transpire à mon tour à la vue de cette gorge profonde qui me titille les yeux. Puis elle reprend. ********************************************************************* Je pensais avoir tout vu et tout fait depuis mon arrivée dans cette ville du Sud et alors que je suis dans un état second, dans une sorte de béatitude planante, je me surprends à repenser à tout ce que j’ai fait depuis deux mois. Moi la petite fille coincée du Nord honteuse de son corps, qui se faisait maltraitée par mes idiotes de soi-disant copines, emmitouflée dans des joggings difformes pour cacher ma beauté naturelle et qui n’avait jamais connu qu’un seul imbécile pour me déflorer à la va vite, je me suis d’abord retrouvée à vivre en vêtements de plus en plus léger, à me baigner nue, à me faire palper le corps par un aveugle jusqu’à l’extase ...