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Marie et le sculpteur aveugle (12)
Datte: 10/12/2018, Catégories: Erotique, Auteur: catchme, Source: Xstory
... chemisiers s’entrouvrent, des robes se dégrafent, des braguettes se déboutonnent. Les corps se dénudent. Les belles peaux lisses et bronzées brillent sous les projecteurs alors que des dizaines d’yeux sont scotchés sur Brigitte et moi qui sommes désormais embarquées dans un spectacle lesbien des plus passionné qui soit. Nous nous frottons nos seins huilés écrasés et nos sexes trempés en appuyant nos cuisses enfoncées dans la chair intime de l’autre aussi fort qu’on le peut. On gémit de plaisir et continuons de rouler entre les mains des spectateurs qui nous retiennent de tomber du podium de cuir et en profitent pour nous peloter sans retenu, des mains s’insérant même entre nos fesses bombées et nos cuisses ruisselantes. Je chavire de bonheur. Les sensations sont divines et je sens cette grosse boule chaude qui gronde et grossit dans mon ventre avec une respiration saccadée. Cette sensation que je connais bien maintenant. La montée en puissance d’un inexorable orgasme. Robert griffonne sur un Canson au milieu des spectateurs agglutinés autour de nous. Je me laisse faire dans la passivité, jouissant avec délectation de tous ces attouchements et du corps huilé de Brigitte qui glisse sur moi comme une anguille chaude qui s’enlacerait autour de ma taille, passerait entre mes seins et se faufilerait entre mes cuisses, frottant interminablement mon bouton exposé et sans défense. Je me sens partir…je m’abandonne à leurs mains cochonnes et dépravées qui passent ...
... et repassent sur mon con trempé offert. Les caméramans Jean-Michel et Sébastien n’arrêtent pas de filmer depuis le début, alternant des plans larges et des zooms indécents sur les courbes et les parties les plus intimes de mon anatomie. Ils s’en excusent presque mais obéissent aux ordres de Manuel. Je me tortille une dernière fois comme pour échapper à l’inéluctable honte de jouir devant cette foule et les caméras alors que Brigitte allongée de tout son poids sur moi, me plaque et m’écartèle en m’embrassant goulument. Nos sexes grands ouverts se frottent l’un sur l’autre dans un show d’une obscénité totale sous les yeux lubriques des mateurs dont les plus proches insèrent leurs doigts dans nos fentes gluantes de mouille et d’huile. Lorsque leurs doigts me pénètrent au même instant que le clitoris de Brigitte écrase le mien et qu’elle engouffre sa langue au plus profond de ma bouche, …J’EXPLOSE sans retenu aucune sous les cris de joie de Manuel qui hurle au micro que c’est la première fois qu’on fait jouir une statue ! Les applaudissements de la foule, le sourire de satisfaction et je pourrais même dire, d’amour de Brigitte m’achèvent dans ma quête d’atteindre le bonheur ultime. Je mets du temps à finir de jouir et me convulse de plaisir pendant d’interminables minutes tant je fais des efforts pour me contrôler et retrouver un semblant de dignité. Je ferme les yeux de bonheur et m’abandonne, épuisée. Brigitte se relève et je reste ainsi étendue, nue ...