1. Elle a joué, elle a perdu. (2)


    Datte: 13/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: JadeJones, Source: Xstory

    ... de la commode. Je tourne la tête discrètement car j’entendais encore du bruit et pensais qu’il fouillait encore, mais il m’a tendu un piège et fait juste du bruit avec sa main en me regardant. Nos regards se croisent ; il me sourit avec perversion et sadisme. Je retourne très vite la tête et ferme les yeux aussi fort que je peux, m’attendant à recevoir un coup. Mais rien. Je le sens monter sur le lit ; il est derrière moi. Il pose ses mains délicatement sur mes fesses. Il est tendre, il a des gestes presque amoureux. Il embrasse mes fesses, l’une après l’autre, et me demande de les écarter pour qu’il puisse voir mon trou. Je m’exécute. Je suis maintenant la tête posée sur le matelas, le cul bien ouvert et très cambré.
    
    — Ce sera la position que je te demanderai le plus souvent, me dit-il doucement.
    
    Je sens d’un coup une chaleur près de ma rondelle. Je n’ai pratiquement jamais fait d’anal, pour être honnête ; les seules fois où je l’ai fait, c’était après des soirées, enivrée par l’alcool. Je tremble légèrement. C’est un bout rond que je sens, pas un doigt, rien de mouillé. Il va me prendre sans m’ouvrir, sans me lubrifier. Ça ne fait pas partie du plan !
    
    — La prochaine fois tu ne tomberas pas ! La prochaine fois tu ne me désobéiras pas !
    
    Il pousse d’un coup. Je sens comme un déchirement et pousse un cri de douleur. Je lâche mon cul pour serrer le drap entre mes doigts tant la douleur est aiguë. Il s’arrête au fond de mon ventre. Je pleure. Il m’enfonce la tête ...
    ... contre le matelas, je ne peux plus respirer.
    
    — Tu fermes ta gueule, salope! Je te rappelle que j’ai des voisins ; je ne veux pas les alerter parce que ma catin n’est pas capable de m’obéir. Et remets tes mains, j’en ai pas fini avec ton gros cul !
    
    Je pleure toujours. La douleur de part pas ; j’ai même l’impression qu’elle prend possession de tout mon corps mais je suis ce qu’il me dit : je replace mes mains et écarte mes fesses le plus possible. Il sort toute sa longueur en moi, laissant juste son gland à l’intérieur.
    
    — Souviens-toi : pas un bruit !
    
    Il se replonge encore plus violemment que la première fois. La douleur me brûle, je me mords la lèvre pour ne pas hurler encore plus. Il fait des va-et-vient dans mon cul, rapides et brutaux ; j’ai la sensation de me faire écarteler et qu’il va de plus en plus profond. Je sens un liquide dans ma bouche : je saigne, mais je ne sens rien à ma lèvre à cause de la brûlure de mon anus. Il continue comme ça plusieurs très, trop longues minutes. Puis le vide. Il me prend par les cheveux et empale ma bouche sur sa bite jusqu’à ce que j’aie le front sur son ventre. Je le sens grossir, puis il gicle directement au fond de ma gorge en plusieurs jets chauds ; je n’ai d’autre choix que d’avaler. Il ressort sa bite et me fait comprendre que je dois la lui laver, alors je reprends son sexe en bouche sans qu’il diminue de taille. Ceci fait, il sort de la chambre et revient cinq minutes plus tard avec une bouteille d’eau. Moi, je me suis ...