1. Elle a joué, elle a perdu. (2)


    Datte: 13/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: JadeJones, Source: Xstory

    J’ai compris. Je suis excitée ; je sens ma chatte et ma culotte devenir humides. Je suis contente à cet instant, mais le serai-je encore après ça ? Après les scénarios que j’ai moi-même écrits ? Je ne sais pas, mais j’ai compris ; alors je mets la scène en marche, et le jeu débute.
    
    Il se relève pour être debout devant moi. Je semble si petite, comme, ça devant lui… Je me relève de façon à avoir le visage à hauteur de son pénis. Je défais le bouton, la fermeture Éclair et descends son jean et son caleçon que je laisse tomber à ses chevilles. Sa tige à peine dressée me fait avoir des frissons à sa vue : pas même complètement rigide, je la vois déjà énorme. Je pense à la suite des événements et un autre frisson parcourt mon corps pour s’arrêter au creux de mon ventre ; de l’envie, de la hâte. L’odeur n’aide en rien pour réduire ça ; une odeur sucrée. Je passe ma langue sur le bout de son gland : un goût de cannelle ; étonnant. Je le prends dans ma bouche en aspirant légèrement et le sens grandir, grossir et pousser dans ma gorge. Ses poils me chatouillent le nez : il n’a pas pris la peine de les raser, ni même de les tailler.
    
    Une fois sa verge complètement érigée, je n’arrive plus à la prendre entièrement. Je fais de mon mieux pour en avoir le maximum, mais visiblement pas assez : comme dans mon récit, il me tire par les cheveux en me plaquant douloureusement contre le mur. Je suis maintenant accroupie et plus maîtresse de rien. Je laisse ma bouche grande ouverte pendant ...
    ... qu’il me la baise. Il va de plus en plus loin sans faire attention à mes plaintes silencieuses. Il me dit de me laisser faire, de baver, de tousser s’il le faut, mais j’ai du mal avec cette intrusion : quand il touche ma luette, j’ai l’impression d’étouffer et ne peux retenir un toussotement.
    
    Il se retire pour aller encore plus profond ; je tousse de temps en temps. Une fois sa verge complètement dans ma gorge, il me bloque la tête. J’ai l’impression de mourir, je ne peux plus respirer. Je bave énormément. De plus l’air me manque. Je perds l’équilibre et me retrouve assise par terre, toujours avec la main de Romain dans mes cheveux, mais sa bite à l’air. Je pose mes mains au sol et tousse à la limite de vomir.
    
    Je n’ai pas le temps de relever la tête que je me sens tirée par les cheveux : il me traîne par terre ; je hurle de surprise et de douleur. Il me conduit jusqu’à ce que je suppose être sa chambre, une petite pièce avec un lit deux places blanc avec ce qu’on pourrait appeler des barreaux, un petit bureau en bois avec un ordinateur ouvert dessus, une table de nuit sur laquelle est posée une lampe de chevet, une grande fenêtre avec des rideaux épais et une commode de la même couleur que son bureau. En soi une pièce assez simple, blanche et bleue, mais qui – je le sens – me réserve moult surprises.
    
    Il me fait aller sur le lit.
    
    — À quatre pattes, et tu attends en regardant le mur !
    
    J’acquiesce d’un signe de tête et je l’entends ouvrir un tiroir, sûrement celui ...
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