Les Bonheurs de Sophie (9)
Datte: 10/12/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Modianorouge, Source: Hds
... est totalement innocente, mais pas besoin d’éducation sexuelle pour pressentir la loi d’un étalon en rut. La main épaisse de l’homme engloutit son sein droit, le malaxe, le presse, les doigts jouent avec son téton et provoque des ondes, comme un clitoris en mode mineur, mais l’écho, la concordance avec le bouton de jouissance est indéniable, elle se trémousse, la culotte entre ses cuisses la bride, et, malgré elle, Sophie écarte, c’est plus fort qu’elle, le tissus craque, le porc satisfait l’exigence du sexe affamé, « tu en veux encore, hein salope ! »… La boule épouse à nouveau le vagin… Et ça recommence de plus belle !!!! Les milles langues fureteuses, ralentissent, accélèrent, parfois se séparent et reviennent à la charge, pressent… puis différent, alors Sophie est au supplice, réclame, exige, ENCORRREEEEEE, ENCORREEEEEE, son clitoris insatiable vénère la récompense, « HHHHHHHHÜÜÜûÜÜMMMMMM », les cris qu’elle est obligée d’étouffer décuplent sa disponibilité, elle hurle intérieurement et ne peut qu’émettre des grognements informes en bavant comme une bête enragée, oui, telle une enragée, elle mord dans la boule en latex, pour se libérer de cette énergie sidérale, « HHHHHHHÛÛÛüuuuuMMMMmmmmm », elle jouit dans un geignement animal, à cause du bâillon, la salive se déverse de ses lèvres, se repend sur son menton… Et la branlée continue, pitié, stop, encore, c’est trop puissant, elle trépide, s’emballe, entraîne le mâle dans une danse furieuse, vers le fond du couloir, ...
... elle est comme une pouliche sauvage, domptée par son cavalier, la voici quasiment aplatie contre le mur, la joue écrasée sur le plâtre écaillé, le porc, toujours collé, dans son dos, la maintient enserrée, la ferre fermement contre lui, il domine sa monture, son gourdin incroyablement dur s’appesantit, intimement rivé à l’arrière train, au plus elle rue, au plus l’engin se frotte au postérieur, il profite au maximum des orgasmes, les accompagne jusqu’à leur acmé, « lààà ça y est tu viens encore petite pute, ohhh putain comme tu aimes ça… », il est indéniablement doué… « Vas y chienne laisse toi complètement aller… Vas- y, ouiiii, comme ça…. Putain de chienne… » Et effectivement, « HHHuuuUUUuuuuuummmmhhhhh », encore un orgasme… ÔÔÔHHHhhhh, Seigneur… QUE C’EST BONNNNNNN… Elle croit que ça y est, elle a atteint le summum, elle n’en peut plus, son clitoris hypersensible, se braque, se révolte, elle remue frénétiquement le bassin pour se libérer, mais impossible d’échapper à l’emprise de l’homme qui l’enserre avec son bras et dont la grosse patte malaxe le sein droit, presse le téton - encore une sonnette résonnant dans le sexe -, au contraire, le porc, exploite les trémoussements pour ostensiblement se masturber contre le derrière de Sophie… Il laisse, brièvement, le clitoris récupérer mais ne relâche pas sa proie, pas encore, il sait qu’elle en peut encore, qu’elle en veut encore… La trêve est de courte durée, la boule aux milles tétons vibrants revient à la charge, d’abord ...