1. La boîte échangiste


    Datte: 10/12/2018, Catégories: f, ff, fhh, inconnu, boitenuit, fsoumise, hdomine, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, journal, Auteur: ChrisetPit, Source: Revebebe

    ... finit de baisser ma culotte. Le public applaudit à tout rompre. J’entends à mon oreille :
    
    — Tu vois, ma poule, il faut peu de choses pour les rendre heureux…
    
    Elle retire mon soutien-gorge et les applaudissements redoublent. Je ne porte plus que mon porte-jarretelles et mes bas. Je suis nue devant une vingtaine d’inconnus, déshabillée par une femme qui se présente comme lesbienne et je suis heureuse ! Rejetant mes épaules en arrière, je prends mes seins pour les présenter au public et, orgueilleusement, j’écarte légèrement les jambes pour lui offrir mon sexe.
    
    C’est alors que je reçois une énorme claque sur les fesses.
    
    — Dis-donc ma fille, ravale ta superbe, pour le moment c’est moi qui commande !
    
    Et je reçois une seconde claque, tout aussi cinglante et bruyante que la première. Le public rit.
    
    — Maintenant, que fête commence ! Tout le monde à poil ! Mais ici, ma belle, c’est toi qui vas me déshabiller…
    
    Aveugle, ce n’est pas facile. Je lui palpe le torse puis les hanches pour essayer de deviner ce qu’elle porte. En bas, c’est un pantalon : facile. En haut, c’est du tissu, mais je ne trouve pas d’ouverture. Je me plaque sur elle, ce qu’elle apprécie par un grognement de satisfaction et passe mes mains derrière : bingo ! C’est fermé par des boutons dans le dos. Je déboutonne et ramène le vêtement à moi. J’en profite pour caresser au passage son dos, ses épaules et ses bras. Comme la peau d’une femme est douce ! Je jette sur le côté de façon à ne pas me prendre ...
    ... les pieds dedans.
    
    Nous sommes de la même taille. Je l’embrasse dans le cou puis sur les épaules ; pliant les genoux, je descends, ma joue frôle un sein. Je ne vais pas laisser passer ça, j’attrape le téton. Je le serre entre les lèvres, Cléa frémit ; je suce, mordille très légèrement, Cléa geint. Laissant mes doigts continuer à agacer le mamelon, ma bouche passe à l’autre sein. Cléa me prend le crâne et m’écrase sur elle ; elle grogne.
    
    Pendant que je lèche, aspire, tète de la bouche et malaxe, pince et fait rouler avec les doigts, ma main libre dégrafe la ceinture, descend le zip et tire le pantalon qui s’écroule sur ses pieds qu’elle soulève l’un après l’autre pour se débarrasser du vêtement. Je caresse ses hanches et rencontre une fine bande élastique. Il s’agit certainement d’un string. Je m’agenouille et fait glisser le sous-vêtement. Malgré les bruits bizarres qui proviennent de la salle : froissements, rires chatouillés, gémissements étouffés, quelques applaudissements viennent saluer la chute du dernier rempart de la vertu de Cléa (si tant est que sa vertu ait besoin d’un rempart…)
    
    L’odeur poivrée de son intimité m’attire. Ma bouche recherche, ma bouche hésite : que de la peau nue et douce, aucune toison. Mon menton est guidé par l’entrejambe, ma langue force l’ouverture des cuisses qui obéissent à la pression. Je sens sa fente sous la langue, c’est doux, très humide comme un fruit juteux. Je lèche, je lape, ma langue s’enfonce, trouve un petit noyau dur : le ...