1. Le patron et sa femme


    Datte: 10/12/2018, Catégories: fh, 2couples, couplus, Collègues / Travail piscine, strip, entrecoup, Auteur: Petar, Source: Revebebe

    ... mon engin de belle taille. Ma compagne me dit que la femme du patron bavait littéralement lorsqu’elle regardait ma queue.
    
    Parler de sexe met en route les connexions érotiques du cerveau, tout le monde le sait. Couchés sur un "transat", à l’air libre, nous nous sommes mis à nous embrasser, nous caresser, nous pénétrer de nos doigts, et naturellement rassembler nos sexes.
    
    Une main sur mon épaule arrête le mouvement, Pauline, nue et resplendissante, très naturellement, comme si je n’existais pas, dit à Suzanne :
    
    — Mon mari t’attend, il est dans tous ses états…
    
    Et tout aussi naturellement, ma compagne, s’extrait de notre étreinte, se lève, et va rejoindre "son" patron.
    
    Naturellement encore, Pauline se met à genoux devant moi, avance calmement les doigts vers mon sexe, le prend à pleine main, le masturbe dans un mouvement vertical très doux, l’observe, vérifie qu’il ne mord pas, lèche le gland comme une boule de glace fraise, et se l’enfourne au fond de la gorge. Le taux d’adrénaline augmente fortement, je palpe ses seins, caresse les boutons, les fait rouler entre mes doigts. Pauline ronronne, se lève, m’embrasse à pleine bouche, et dit :
    
    — Allons dans la piscine…
    
    Un saut dans l’eau, les bras appuyés contre le bord, la femme de mon patron attend. Je m’approche, soulève son bassin, cale ses cuisses écartées contre les miennes et la pénètre d’un trait. Un "oh !" de surprise très vite dépassé, ...
    ... le mouvement ample de piston met en route la machine. Frénétiquement, comme si nous devions absolument tout terminer dans la seconde, nous baisons comme des bêtes. Tous les sous-entendus, les convoitises, les rêves, les fantasmes, les choses inavouables, les interdits se rejoignent dans une danse infernale qui nous conduit inexorablement à l’orgasme. Nous hurlons de plaisir puis rions de contentement, mieux que l’alpiniste au haut de sa montagne, nous avons dépassé le sommet. Au même instant, venant de la chambre à coucher, Suzanne crie sa victoire, Jacques termine par un fou-rire contagieux.
    
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    Dès le petit déjeuner, nus sur la terrasse, deux nouveaux couples se sont formés. Ils copulent deux à deux à l’abri du regard des autres, par pudeur, mais aussi par horreur de la "partouze", conscients de l’importance du respect de l’autre. L’amour entre deux êtres (pas plus) qui permet de se donner à l’autre entièrement et dépasser ses propres limites.
    
    À entendre les hurlements de nos dames respectives à chaque accouplement, on en déduit qu’elles prennent très régulièrement leur pied, l’orgasme est au rendez-vous. Suzanne pense que grâce au petit pénis de Jacques, le point G est beaucoup plus régulièrement sollicité alors que Pauline imagine que c’est grâce à ma grosse queue qu’elle est mieux remplie, toute la paroi du vagin est sollicitée.
    
    Le mystère reste entier, mais l’amour, lui, est partagé… 
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