666
Datte: 08/12/2018,
Catégories:
h,
fh,
fffh,
fhhh,
couleurs,
rousseurs,
Collègues / Travail
grosseins,
forêt,
campagne,
hsoumis,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
délire,
Humour
sf,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... tout son visage était recouvert de pilosité.
— Que s’est-il passé ?
La voix du très poilu était cassée, presque inaudible.
— Aucune idée, normalement nous n’aurions jamais dû être plongés en hibernation. Je ne sais même pas combien de temps nous y sommes restés.
— Une chose est sûre, je ne reste pas une minute de plus dans cette combinaison.
La rousse qui venait de parler joignit le geste à la parole en se dévêtant. Les autres en firent autant, libérant du même coup une odeur épouvantable qui les fit dégueuler de plus belle.
Quand ils eurent fini de vomir, ils se grattèrent sur toutes les parties du corps.
Ils restèrent un temps allongés nus au soleil, reprenant leurs esprits.
Le mâle regarda ses compagnes, mis à part les cheveux très longs, elles n’avaient pas changé. L’hibernation ne semblait pas les avoir affectées, et lui non plus.
Un petit mammifère étonnant, un chat-fouine les regardait, intrigué.
— C’est pas le tout, dit le plus poilu, où sommes-nous ?
— Et quand, ajouta la brune aux fortes mamelles.
S’ensuivit alors un brouhaha épouvantable qui fit fuir la petite bête.
— Dans la capsule nous devrions trouver un calendrier ou un truc de ce genre, qui nous permettrait au moins de connaître le temps passé dans le cirage.
Aussitôt, Albert et Linda rentrèrent dans l’appareil. Firent défiler nombres de paramètres sur les écrans.
— Mon dieu, non ! gémit la belle nichonnée.
— Putain de merde, lui répondit Albert en pâlissant.
Ils ...
... ressortirent et proposèrent aux autres de s’asseoir.
— 666 ans. Nous sommes restés en hibernation pendant 666 ans.
— Le chiffre de la bête, gémit la rouquine.
— Arrête, tu vas nous porter la poisse.
— Comment est-ce possible ? murmura Alhem.
— Et surtout, où sommes-nous ? Il n’y a aucune trace de civilisation ici, ajouta Amalie.
— Il nous faut trouver un abri. Nous ne pouvons pas rester ainsi à l’air libre. Le soleil va nous brûler.
— Récupérons d’abord tout ce qu’il y a récupérer dans la capsule. La toile des parachutes fera aussi d’excellents vêtements.
C’est ainsi que la petite troupe partit à l’aventure, sur une planète étrange au ciel bleu rosé et au soleil orangé. Au loin, des fumées volcaniques montaient en volutes sombres.
À la fin de la journée, ils trouvèrent une petite grotte près d’une rivière. Une belle végétation s’y étalait. Des oiseaux chantaient et des petits bruissements se faisaient entendre dans les feuilles sèches, signe de présence de petits animaux.
— Peut-être de reptiles, émit Albert, il nous faudra être prudents.
Ils profitèrent de la rivière pour se laver, évacuer la crasse et surtout l’odeur épouvantable qui les suivait.
Le soir, lors du coucher du soleil, ils prirent un énorme coup sur la tête. Une lune se leva, une lune avec des anneaux. Mais si semblable à « leur lune » qu’ils eurent des doutes.
— Je crois savoir où nous sommes et je devine les événements, intervint Linda. C’est horrible.
— Allez, accouche, supplia ...