1. 666


    Datte: 08/12/2018, Catégories: h, fh, fffh, fhhh, couleurs, rousseurs, Collègues / Travail grosseins, forêt, campagne, hsoumis, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, facial, Oral pénétratio, fsodo, délire, Humour sf, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... peu, elle cria beaucoup, mais il arriva à ses fins. Elle ne put s’asseoir pendant deux jours.
    
    Albert rayonnait. Quatre femmes s’occupaient de lui. Et quelles femmes ! Il se croyait au paradis.
    
    Il connaissait bien la jolie Norvégienne, il se remémorait ses petites séances de torture, toutes les fois où elle l’amenait au bord de l’implosion sans jamais le libérer. Aussi lui rendait-il la monnaie de sa pièce en la faisant languir. Se retirant d’elle alors qu’elle le voulait bourrin, se faisant supplier.
    
    Vint le grand jour de la grande révélation.
    
    Ils exploraient une contrée assez loin de la caverne lorsqu’Amalie les appela.
    
    Ils regardaient tous un objet sortant du sol.
    
    Une statue, un homme désignant l’horizon du doigt.
    
    Les quatre femmes pleuraient. Ils venaient de trouver la première trace d’humanité.
    
    Albert était tout pâle.
    
    — Je sais exactement où nous nous trouvons. Nous sommes en France.
    — Comment en est tu si sûr ?
    — C’est la statue de Monsieur Pipi.
    — Qui ? Plaît-il ?
    — Le Général Desaix, plus communément appelé Monsieur Pipi.
    
    Nous sommes au centre de la place de Jaude, à Clermont Ferrand. Je venais passer mes vacances ici chez ma grand-mère.
    
    Il s’assit sur le sol, ses jambes ne le portaient plus.
    
    Elles le prirent par la main et l’emmenèrent. Il se sentait tout triste.
    
    Les journées et les mois passaient. Ils avaient capturé et apprivoisé des bestioles ressemblant à des chèvres frisées.
    
    Ils les trayaient, récupéraient les poils. ...
    ... Ils ne mangeaient plus de viande. Les plantes et le lait de chèvre suffisaient. Grâce à leurs connaissances, ils avaient réussi à recréer des rouets. Ils tissaient et filaient.
    
    Ils essayaient de faire de même avec des vaches velues aux cornes majestueuses.
    
    Une petite troupe de chiens aux oreilles rondes les avaient rejoints. Des lycachiens.
    
    Albert était aux anges. Quatre femmes s’occupaient de lui. Un rêve éveillé.
    
    Toutefois, quelque chose tracassait Albert.
    
    Il lui semblait que son sexe diminuait. Il le trouvait moins long et moins épais.
    
    — Je me fais des idées, se disait-il. Cela peut être dû à la nourriture.
    
    Cependant un mauvais pressentiment le taraudait.
    
    Il remarqua aussi que les seins de « ses » femmes diminuaient de volume. Alors qu’il tripotait les pommes d’amour de la belle Alhem, il les trouva plus petites, non pas rabougries ou desséchées, mais rétrécies.
    
    Les poils de sa poitrine se raréfiaient. Il avait pris quelques mesures, pas de doute, son sexe rapetissait.
    
    Il allait en parler à Julia, la médecin du groupe quand toute la troupe tomba malade. Vomissements, douleurs abdominales, étourdissements et enfin évanouissements.
    
    Cinq corps gisaient dans la caverne.
    
    Épilogue
    
    Albert se réveillait la bouche pâteuse, les paupières collées et une étrange lourdeur dans la poitrine.
    
    Il entendait des hommes parler.
    
    Des hommes ?
    
    — Je n’ai jamais vu un tel phénomène.
    — Moi non plus, ni jamais entendu parler.
    — Détrompez-vous. Avant ...
«12...891011»