Jumeaux (2) - Histoires de Sexe

Jumeaux (2)

... sortais, plus humide à chaque fois. Un peu à l’étroit au début, j’aurais pu rester en elle jusqu’à la fin des temps à présent tellement j’y étais bien - une preuve de plus s’il en fallait une qu’on était fait l’un pour l’autre. Julie glissa ses doigts entre les miens que je plaquai contre le lit, ses seins frottaient contre mon torse et mes hanches claquaient contre ses cuisses de plus en plus fort, de plus en plus vite avec nos gémissements en fond sonore.

Elle enfourna de nouveau sa langue dans ma bouche et me fit basculer sur le côté se retrouvant sur moi. Un grand sourire sur le visage, elle se mit à me chevaucher comme une reine. Elle passa ses mains dans ses cheveux pour les jeter en arrière pendant que ses deux petits seins sautillaient. Sublime amoureuse. Je me redressai pour l’enlacer, embrasser son cou, caresser son dos. En la serrant contre moi, je l’emmenai en arrière et repris mes coups de reins ce qui la faisait rebondir sur ma queue.

— Continue, t’arrête surtout pas ! Supplia-t-elle entre deux cris.

— Julie, je vais jouir, je peux plus...

Elle cria. Je criai. Mon sexe fut comme éjecté du sien, je finis donc par gicler en l’air, quatre ou cinq longs jets qui retombèrent en partie sur mes cuisses, en partie sur ses fesses. Le calme revint dans la chambre, elle restait allongée sur moi sans bouger. Mon ventre la fait monter-descendre au fil des inspirations-expirations. Nos peaux sont collées l’une à l’autre. Je passai une main dans son dos : doux et ...

... trempé. Je voulais voir son visage. Je relevai sa tête de mon torse, illuminée par la lumière du réverbère qui se trouvait devant sa fenêtre. Elle avait les cheveux en pagaille et les joues rouges, ma magnifique amante. Je lui retirai une mèche qui tombait sur ses yeux et collai son front contre le mien. Elle ria, ce qui me fit rire aussi.

Après avoir retrouvé son souffle, elle se décolla de moi et quitta la chambre sans un mot. Un peu surpris, je ne m’y attardai cependant pas et quittai la chambre à mon tour pour descendre boire quelque chose. J’en profitai aussi pour éteindre toutes les lumières d’en bas qui étaient restées allumées tout ce temps et fermer les portes à clé.

En remontant, je passai à mon tour dans la salle de bain, que Julie avait déjà quittée, pour nettoyer les quelques traces de nos ébats. Elle m’attendait dans sa chambre, comme moi, encore entièrement nue, les jambes cachaient sous la couverture.

— T’as soif ? Lui demandai-je en montrant la bouteille d’eau que j’avais emportée.

— Oui, merci.

Je la rejoins au lit et lui tendis la bouteille. Après qu’elle ait bu, elle posa la bouteille par terre et vint se blottir contre moi.

— Ça va ? Me demanda-t-elle, très sérieuse.

— Ça va ouais.

— Tu... (elle marqua un silence) tu regrettes pas ?

Je me mis à réfléchir. Maintenant que l’excitation animale qui m’avait possédé durant la dernière demi-heure était partie, le retour à la réalité m’angoissait un peu.

— Je pense pas. J’en avais ...