Jumeaux (2) - Histoires de Sexe

Jumeaux (2)

... goûter.

— Je peux ? Me sentis-je obliger de lui demander.

Elle fit oui de la tête.

N’importe où, je posai les lèvres. Elle frissonna. Légèrement humide déjà. Je savais ce que ça voulait dire. Je continuai d’embrasser sa fleur un peu partout. Maintenant je voulais y mettre la langue. Je léchai l’ouverture. Un nouveau frisson. Je la rentrai comme pour chercher quelque chose. « Plus haut. » m’indiqua-t-elle gentiment. Je remontai donc. Léchai de nouveau. Un autre frisson, plus fort cette fois. C’était bien là que je voulais aller et qu’elle voulait que j’aille. Un, deux, trois, quatre coups de langue, elle m’attrapa les cheveux, je continuai. Je me mis deux doigts dans la bouche mais n’en fis pénétrer qu’un. C’était serré sans surprise. Elle me tira les cheveux pour me dire de continuer avec ma bouche. Je la léchais et la pénétrais. L’intérieur était doux et humide. Des vibrations me chatouillaient le doigt. Je pensai qu’un deuxième serait le bienvenu. Ça continua pendant un temps. Elle cria, souffla, se mordit les lèvres, rigola et recommença dans un ordre différent. Un dernier cri où elle manqua de m’étrangler avec ses cuisses puis elle se calma.

Je me mis debout et elle s’assit sur le bord du lit pour m’aider à enlever mon jean. Elle jeta ma ceinture et ne prit la peine de défaire que les deux premiers boutons de mon pantalon avant de l’abaisser de force emportant mon boxer en même temps. Mon sexe faillit lui taper le visage en jaillissant de sa prison où il ...

... était enfermé depuis trop longtemps. Elle se jeta dessus comme sur une friandise. Sa langue me caressait tout du long jusqu’à la pointe ultrasensible. Elle allait et venait. Elle était douée – où avait-elle appris ça ? Elle m’excitait trop. Ses lèvres étaient divines. Je lui attrapai l’arrière de la tête et me mis à bouger moi-même. Des coups de reins qui enfonçaient mon pieu plus loin qu’elle n’allait elle-même. Je l’étouffais et tapais le fond de sa gorge. Elle planta ses ongles dans mes fesses pour se venger. Elle me faisait mal mais impossible d’arrêter. Sa salive commençait à couler sur ses cuisses. Il fallait que je me calme ou je ne tiendrais pas... Je retirai mon sexe de sa bouche et l’embrassai pour m’excuser.

Elle me tira à nouveau sur elle.

— Prends-moi, vite.

— C’est ta première fois ? Ne pus-je m’empêcher de demander.

Elle me regarda de travers pour me faire comprendre que j’avais cassé le rythme, mais je compris que c’était bien sa première.

— Si je te fais mal tu me le dis. Ajoutai-je (ce qui l’énerva encore plus.)

Je n’eus qu’à pousser légèrement le bassin pour entrer. Elle me mordit la lèvre pour supporter. Je continuai mon chemin dans la douleur. Ça y est, j’étais entièrement en elle. Un goût de sang coulait dans ma bouche. Elle lâcha ma lèvre, vit son crime et m’embrassa pour me soulager.

— Enfin on ne fait plus qu’un, me murmura-t-elle.

Elle enroula ses jambes autour de moi et accompagnait la cadence de mes coups. J’entrais et je ...